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Elle est l'un des seize forts construits autour de Paris. Elle est construite au début des années 1840 sur le mont Valérien, colline culminant à 161 mètres, située à environ deux kilomètres à l'ouest de Paris, dans les communes de Suresnes (majeure partie), Nanterre et Rueil-Malmaison.
Du lieu de l'Histoire au premier des Hauts lieux de la mémoire nationale : Lieu de culte médiéval devenu forteresse militaire au cours de XIXème siècle, le Mont-Valérien a été le principal lieu d’exécution de résistants et d’otages en France par l’armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.
Afin de transmettre l'histoire des fusillés du Mont-Valérien et les mémoires portées par le lieu, les visites du site sont gratuites, uniquement guidées et à horaires fixes. Afin d'assurer votre visite et vous accueillir au mieux, nous vous invitons à réserver votre créneau au préalable.
Le Mont-Valérien fut pendant des siècles un important lieu de pèlerinage chrétien, puis au milieu du XIXe siècle, un fort de la ceinture parisienne y fut construit. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le site a été le principal lieu d'exécution des autorités allemandes en France.
Situé à Suresnes (Hauts-de-Seine), il comprend le mémorial de la France combattante, sur les flancs du mont Valérien, au pied de la forteresse du même nom, ainsi que le sentier mémoriel qui poursuit dans l'enceinte militaire, vers la clairière qui fut le lieu d'exécution.
Entre le printemps 1941 et l’été 1944, quelque 1 008 hommes ont été exécutés au Mont-Valérien, dans une clairière nichée au cœur du second glacis de cette forteresse militaire dont la construction s’était achevée au milieu du XIXe siècle.
Lieu de culte médiéval, puis forteresse militaire au XIXe siècle, le Mont-Valérien, durant la Seconde Guerre mondiale, a été le principal lieu d’exécution en France de résistants et d’otages fusillés par l’armée allemande.
