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Un livre d’heures est un recueil contenant les prières et les rituels qui rythment les heures de la journée e le calendrier annuel des fidèles selon la liturgie catholique. Celui de Marguerite d’Orléans est peut-être un cadeau de mariage commandé en 1426 par son époux, Richard d’Étampes.
- Mois de janvier
Livre d'heures de Marguerite d'Orléans, France (Paris), vers...
- Mois d'août
Une palme à la main, en signe de martyre, elle se tient avec...
- Mois de novembre
La couleur rouge du ciel et du sol, qu'on imagine jonché de...
- Heures de Marguerite d’Orléans
Heures de Marguerite d’Orléans. Baptême du Christ, avec la...
- Mois de janvier
Heures de Marguerite d'Orléans.F. 1 Calendrier. F. 13 Extraits des IV Évangiles. F. 23 Prières à la Vierge : « O intemerata... », etc. F. 31, 133 et 143v Heures de la Vierge, de la Croix et du Saint-Esprit. F. 158 Suffrages. F. 179 Psaumes de la pénitence. F. 196v Litanies des saints (incompl. de la fin).
Livre d'heures de Marguerite d'Orléans, France (Paris), vers 1430. Paris, BnF, département des manuscrits, Latin 1156B, fol. 1. Janvier est le mois du froid où l'on ne peut guère travailler. C'est aussi le mois des fêtes et du repos près du feu.
Une palme à la main, en signe de martyre, elle se tient avec modestie et avance entre les rangées de fleurs. Au-dessous, deux bouquets de marguerites, naturalistes, encadrent le médaillon. Les fleurs sont mises en pots, métaphore de l'épouse.
La couleur rouge du ciel et du sol, qu'on imagine jonché de feuilles mortes, veut évoquer l'atmosphère de l'automne. Le sagittaire bande son arc dans le médaillon zodiacal, galopant sur un sol pour la première fois jonché de fleurs sauvages, en signe de l'hiver, saison mauvaise, qui survient.
Parcourir les collections Les Heures de Marguerite d'Orléans , introduction et commentaire par Eberhard König, Paris, Editions du Cerf/Bibliothèque nationale, 1991. 240 p., 28 ill. en noir, 97 pl. couleurs.
Heures de Marguerite d’Orléans. Baptême du Christ, avec la colombe du Saint-Esprit. Agrandir. Lorsque Jésus fut baptisé par Jean-Baptiste, rapporte Matthieu : « Jésus, ayant été baptisé, monta aussitôt, s’éloignant de l’eau ; et voici, les cieux lui furent ouverts, et il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe, et venir sur lui.
