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  1. Georges de La Tour [note 1] est un peintre lorrain, baptisé le 14 mars 1593 à Vic-sur-Seille et mort le 30 janvier 1652 à Lunéville. Artiste au confluent des cultures nordique, italienne et française, contemporain de Jacques Callot et des frères Le Nain, La Tour est un observateur pénétrant de la réalité quotidienne.

  2. Georges de La Tour est un peintre lorrain, baptisé le 14 mars 1593 à Vic-sur-Seille et mort le 30 janvier 1652 à Lunéville. Artiste au confluent des cultures nordique, italienne et française, contemporain de Jacques Callot et des frères Le Nain, La Tour est un observateur pénétrant de la réalité quotidienne.

    • French
    • Vic-sur-Seille, France
  3. 5 mars 2020 · Le topo. Georges de La Tour en 2 minutes. En bref. Ce maître du ténébrisme lorrain est l’un des peintres les plus énigmatiques de l’art français. Ses œuvres sont rares. Tombé dans l’oubli après sa mort, Georges de La Tour (1593–1652) a été redécouvert au début du XX e siècle.

    • Job raillé par sa femme. C’est le premier tableau de Georges de La Tour entré dans une collection publique lorraine. II se trouvait en 1820 dans la collection du peintre Martin-Nicolas Krantz, originaire de Nancy.
    • La Diseuse de bonne aventure. L’anecdote du jeune homme de bonne famille berné par des bohémiennes fut traitée avec prédilection par les peintres caravagesques.
    • Le Tricheur. Le theme du jeu – et du tricheur au jeu – est, avec celui de « la diseuse de bonne aventure », l’un de ceux sur lequel les caravagesques s’arrêtèrent le plus volontiers.
    • La Madeleine pénitente. Le thème du repentir de Marie-Madeleine a fasciné La Tour. II s’accordait aussi au climat spirituel d’une époque qui fut celle des grandes conversions.
    • Le « peintre ordinaire » de Louis XIII. Né dans une famille de boulangers, Georges de La Tour semble recevoir une bonne éducation et trouver en Lorraine un milieu propice à l'apprentissage de son art.
    • Évolution d'un style. On distingue les scènes diurnes et les scènes nocturnes. Les premières sont traitées dans une lumière froide et claire, avec une précision sans concession (Saint Jérôme pénitent, 2 versions ; le Joueur de vielle).
    • L'héritier spirituel du Caravage. Georges de La Tour fascine par sa rigueur géométrique et par son luminisme voué à l'essentiel. Il emprunte ses thèmes, volontiers répétés, au répertoire caravagesque des années 1610-1620 (la Diseuse de bonne aventure ; la Madeleine à la veilleuse).
    • Force et simplicité. Georges de La Tour transcende le quotidien, fige jusqu'aux gestes les plus violents (Rixe de musiciens) et préfère d'ordinaire l'immobilité, le silence, la méditation.
  4. Georges de La Tour (13 March 1593 – 30 January 1652) was a French Baroque painter, who spent most of his working life in the Duchy of Lorraine, which was temporarily absorbed into France between 1641 and 1648. He painted mostly religious chiaroscuro scenes lit by candlelight.

  5. Fils d'un boulanger de Vic, aujourd'hui Vic-sur-Seille, dans l'évêché de Metz, Georges de La Tour naît en mars 1593. Il est issu de ce milieu relativement aisé d'artisans et de petits propriétaires qui, dans l'ancienne France, fut de tout temps une réserve d'élites.

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