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  1. La fable IV, Le héron et La fille, du livre VII est une fable double écrite par Jean de La Fontaine, auteur du XVII siècle appartenant au mouvement du classicisme. Elle met en scène un Héron, qui malgré la faim rejette des poissons, pourtant acceptables, car il ne les estime pas digne de lui.

    • July 30, 2011
  2. « Le Héron/La Fille » offre un bon exemple de cette évolution. Fable double autour d’une morale unique, elle permet à La Fontaine une variation sur un thème commun, une modulation de ses effets accordée à l’objet différent qu’il se donne dans chacun des deux récits : un animal dans le cas du héron, un être humain dans celui de ...

  3. « Le Héron/La Fille » Introduction : • Configuration inhabituelle : Fable en 2 parties avec morale au milieu. • 2 récits pour 1 même morale, 2 corps pour une âme… • Le personnage de chaque récit se trouve dans un certain rapport avec l’objet de son désir. Recherche de bonne distance entre assouvissement immédiatet renoncement.

  4. Le Héron, la Fille. Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où, Le Héron au long bec emmanché d'un long cou. Il côtoyait une rivière. L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ; Ma commère la carpe y faisait mille tours. Avec le brochet son compère.

  5. Le Héron est la première partie de la quatrième fable du livre VII de Jean de La Fontaine situé dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678. La seconde partie de cette fable est composée par La Fille 1.

  6. L’idée du héron revient à La Fontaine. Pour La Fille, La Fontaine a certainement eu recours à Martial, V, 17. ; il connaissait sans doute aussi le texte de Conrart. La moralité commune à ces deux versions, l’une animale, l’autre humaine, termine la première fable et sert de prologue à la seconde.

  7. L'idée du héron revient à La Fontaine. Pour La Fille, La Fontaine a certainement eu recours à Martial, V, 17. ; il connaissait sans doute aussi le texte de Conrart. La moralité commune à ces deux versions, l'une animale, l'autre humaine, termine la première fable et sert de prologue à la seconde.