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  1. Plaques ou compresses imprégnées, et gels. Hydrate les plaies sèches. Détersion autolytique des plaies sèches, peu exsudatives, fibrineuses ou nécrotiques. Ne pas appliquer sur la peau saine. Nécessite un pansement secondaire. Laisser en place au mieux 3 jours. PURILON®, INTRASITE® gel, NU-GEL®,...

    • 2MB
    • 73
    • Prévalence
    • Étiologie Des Plaies cancéreuses
    • Prise en Charge
    • Réfection Des Pansements
    Environ 6,6% des patients sont atteints d’un carcinome en Suisse.
    Sites les plus fréquents: sein (49%), cou (21%), torse (18%), aine (17%), tête (13%), autres localisations (2%).
    Invasion directe par la tumeur primaire ou une métastase.
    Ulcération ou lésion consécutive à un traitement anticancéreux (chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie, électro-chimiothérapie).
    Les plaies oncologiques sont des plaies palliatives.
    Elles sont souvent associées à des gênes importantes telles que la douleur, la mauvaise odeur, les saignements, l’exsudat, le prurit, qui diminuent considérablement la qualité de vie dans les dimen...
    Le traitement est basé sur le contrôle des symptômes, la promotion du confort et du bien-être.
    Les plaies oncologiques sont des plaies chroniques et complexes qui exigent une prise en charge multidisciplinaire et une réévaluation régulière des objectifs de soins en équipe avec le patient.

    1. Préparation du lit de la plaie (prudence: risques/bénéfices en cas de douleur ou hémorragie) 1. Nettoyage au NaCl 0,9%, solution de Ringer®, ou à l’eau tiède + savon doux/douche. 2. Les plaies malignes sont toujours colonisées. 2. Si débridement nécessaire–> autolytique à l’aide d’Alginates (d’hydrogels : les hydrogels ramollissent mais ne sont ...

  2. Les points à retenir. Les plaies sont fréquentes et de causes variées chez les patients en phase terminale : plaies cancéreuses, séquelles de radiothérapies, plaies postopératoires, ulcères artériels et escarres. Les plaies sont plus ou moins invalidantes.

  3. En absence de traitement anti-cancéreux effi cace, les plaies tumorales évoluent Les réfl exions. pluridisciplinaires quant aux soins à leur apporter diffèrent selon que le patient soit en phase palliative dite initiale, avancée, voire terminale.

  4. plaie. On applique un gel contenant 0,1 % de morphine (encadré) sur le lit de la lésion lors de chaque nouveau panse ment. Il agit en quelques minutes pour une durée d’action de 7 à 24 heures. Un tel traitement est indiqué pour une plaie cancéreuse non soulagée par les antalgiques décrits ci-dessus ou en cas

  5. Evaluation de la plaie : évolution, risque de saignement, douleur, qualification des exsudats, odeurs, etc. Définition d’un protocole de soin : Quel est l’objectif recherché : cicatrisation ou palliatif ? Nettoyage de la plaie à l’eau et au savon, douche si possible.

  6. Dans certains cas de cancers et/ou selon le stade de la mala- die, les traitements généralement utilisés à des fins cura- tives, comme la chimiothérapie ou la radiothérapie par exemple, peuvent aussi avoir un objectif palliatif. Ils sont alors utilisés pour contenir la maladie, prolonger la vie et/ou soulager les symptômes.