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Re : Signification de "pourquoi pas". "pourquoi pas" et "oui, pourquoi pas" sont identiques. On dit pourquoi pas pour répondre à quelqu'un qui a formulé une hypothèse à laquelle on n'avait pas pensé, et qui, à première vue, est judicieuse. C'est donc positif ! ex : - je ne sais pas comment finir ce devoir de français dans les temps ...
Re : Négation sans "pas" : comme il ne cesse de... Plus étrange encore : "Je ne vois rien". En toute logique, on devrait dire "Je vois rien", comme on le fait familièrement à l'oral. "Je ne vois pas rien" signifierait qu'on voit quelque chose ! Ça marche aussi avec d'autres : je ne mange rien, ne bois rien, n'y vais jamais, etc.
Même chose dans "intérieur" (et même "intéroceptif") ou "intérêt", où "intér" n'est pas le préfixe français (on ne connaît pas les mots im, ieur ou êt !). Citer Message 2 3 Réponse de shokin 02-01-2017 16:50:06
Votre récent commentaire me permet de préciser celui que je vous avais fait avant. La locution "c'est pourquoi", composée d'un verbe et d'un adverbe, est une conjonction de subordination. À ce titre, l'exemple donné par yd avec "ainsi que" est valable puisqu'il remplace une conjonction de subordination par une autre.
pas de vraie bonne réponse, car la dissociation singulier / pluriel est très ancienne (dès le XIIe S. selon Robert l'Historique !). Dérivé du latin oculus (=> ocelle), on le trouve au XIe S. sous la forme ol / oil. Au XIIe, on a déjà les formes un uel / deux ialz. Et au XIVe, un oeil / deux yeulx. Mais Robert n'explique pas cette dichotomie.
J'ai toujours voulu expliquer à mes élèves pourquoi les chiffres en français se sont developés de cette façon, c'est-à-dire, pourquoi soixante-dix, quatre-vingts, quatre-vingt-dix etc. (plutot que octante, nonante, septante etc..).
La mémoire des textes lus peut compléter la réflexion, ou, pourquoi pas, s'y substituer. L'idéal est de ne plus se poser de problèmes, et d'acquérir l'automatisme . Dans la langue parlée, qui laisse peu de temps à la réflexion ou à la mémoire, si l'automatisme n'est pas là, on a tendance à négliger tout accord, y compris parfois avec l'auxiliaire être.
La réponse est oui pour Sont-ce, mais non pour ramènes, car il serait préférable d’utiliser ici le verbe rapporter. Le TLFi remarque néanmoins que « ce sens [est] couramment utilisé dans la lang. parlée ou écrite » mais qu’il est « impropre selon certains dict. et certains puristes. On ne ramène pas une chose, on la rapporte ».
Bonjour à tous. petite problème: Je parle à pierre Je lui parle. Je pense à Pierre Je pense à lui pourquoi pas " je lui pense" ? y a t-il une liste de verbes qui n'acceptent pas le pronom complément et qui rejettent le pronom tonique après le verbe ? Je n'ai pas pu dégager une véritable règle. Merci de votre aide.
Re : accord du participe passé du verbe laisser. Oui. On a déjà le semi auxiliaire " se faire" qui donne un sens passif à punir. Ajouter un autre semi-auxiliaire "laisser" déjà, en soi rend le sens confus. D'autant qu'en effet, le fait de laisser s'applique à l'action de punir. Avec nos pensées nous créons le monde.