Yahoo France Recherche Web

  1. Grâce à la mobilisation des donateurs, nous luttons chaque jour contre le cancer. Avec un don de 180€, vous contribuez au financement d'une prothèse mammaire.

Résultats de recherche

  1. Les plaies en cancérologie se classent en deux typologies. D'une part, les plaies tumorales, liées à l’extériorisation d’une tumeur, et d’autre part les plaies induites par un traitement anti-cancéreux mis en place. Connaître leurs caractéristiques spécifiques permet de choisir les soins et les pansements adaptés.

  2. effectue un lavage simple des mains ou une désinfection par friction avec SHA. effectue sur prescription la prémédication, pommade analgésique et/ou Kalinox et respecte les délais d’action des produits. désinfecte le plan de travail avec une solution D.D en vigueur dans l’établissement.

    • Qu’est-ce qu’une Plaie tumorale ?
    • Evaluation de La Plaie tumorale
    • Nettoyage de La Plaie tumorale
    • La détersion de La Plaie tumorale
    • Plaie tumorale : Choix Du Pansement
    • La Fixation Du Pansement
    • La Peau Périlésionnelle
    • Conclusion

    Les plaies tumorales sont des plaies chroniques liées aux cancers qui peuvent être des tumeurs primitives ulcérées à la peau ou des métastases cutanées, signe de récidive d’un cancer préexistant. Il en existe différents types : 1 - Les plaies tumorales superficiellessont des plaies qui s’étendent et ne s’extériorisent que très peu. 2 - Les plaies t...

    Elle s’inscrit dans une approche globale du patient. Lorsque le patient vient à l’hôpital pour son soin, le soignant va évaluer la situation clinique du patient en l’interrogeant et au besoin faire les liens avec les autres professionnels de santé (oncologue, diététicienne, onco-psychologue) etc… Dans un deuxième temps, il va apprécier l’état de la...

    Avant toute décision de protocole de soin, il est indispensable de laver la plaie, car l’hygiène cutanée est la base de tout soin. Eau et Savon - douche si possible L’odeur nauséabonde de ces plaies et leur aspect rebutant peuvent souvent donner l’impression qu’il s’agit de plaies infectées et le soignant va vouloir utiliser des antiseptiques. En r...

    Il faut se poser la question de l’objectif de la détersion pour des plaies tumorales. On ne recherche pas le bourgeonnement de la plaie en vue d’une cicatrisation, mais à éviter la surinfection en retirant les croutes, ou encore en enlevant avec précaution la nécrose (molle), responsable d’odeurs désagréables pour le patient et son entourage. Il ex...

    Il sera fait en fonction des symptômes de la plaie mais aussi en fonction du souhait du patient, de son confort. Le protocole de soin sera modifié en fonction de l’évolution de la plaie elle-même. Il faut éviter la superposition de différentes familles de pansements et tenir compte du coût du pansement et de son remboursement. La fréquence des chan...

    Il est impératif de proscrire au maximum les adhésifs. Ces patients ont une peau très sèche et lésée par les traitements reçus (chimiothérapie, radiothérapie) mais aussi fragilisée par l’évolution de la plaie. L’utilisation d’adhésifs en fixation d’un pansement primaire peut entrainer des lésions mettant du temps à cicatriser. On peut donc avoir re...

    Chez ces patients, la peau périlésionnelle est souvent laissée de côté car on se focalise sur la plaie elle-même. Autour de ces plaies la peau a besoin d’être hydrater, car les déformations occasionnées par la plaie elle-même entraîne souvent tiraillements, cisaillements, prurit et inconfort. On peut donc utiliser un émollient afin de maintenir une...

    Bien au-delà du simple soin technique la réfection du pansement est un temps ou le patient va pouvoir exprimer son désarroi face aux lésions : il s’agit du signe visible de la maladie et parfois de sa progression. C’est l’occasion pour le soignant de l’aider à verbaliser. C’est à travers cette relation de confiance que la prise en charge sera optim...

  3. Au cours du traitement de sa maladie, le patient cancéreux est souvent traité par antibiotiques, indépendamment de sa plaie (ex : aplasie fébrile, infection urinaire ou du cathéter etc.…).

  4. Étiologie des plaies cancéreuses (ulcérées à la peau) Invasion directe par la tumeur primaire ou une métastase. Ulcération ou lésion consécutive à un traitement anticancéreux (chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie, électro-chimiothérapie).

  5. Les soins visent généralement à ralentir la progression de la maladie et à améliorer la qualité de vie en soulageant les symptômes physiques causés par les plaies (exsudation, mauvaise odeur, douleur et risque d'hémorragie) au moyen de pansements appropriés et d'autres traitements.

  6. Surinfection, exsudats nauséabonds, hémorragies capillaires... leur évolution dépend des traitements anti-cancéreux et de la réponse du patient à ces derniers. Des plaies tumorales spécifiques