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  1. Seuils de bactériurie Le seuil de leucocyturie significatif est ≥ 10 éléments/mm3 soit 104 éléments/ml. Mais cette donnée est peu utile dans le diagnostic des infections urinaires. Le seuil de bactériurie significatif dépend de l'espèce bactérienne en cause et du sexe du patient (tableau 11.1).

  2. La positivité des leucocytes et/ou des nitrites à la BU impose la réalisation d’un ECBU pour confirmation diagnostique. La négativité de la BU pour ces deux paramètres a une valeur prédictive négative (VPN) de 97 %. Au-delà de l’âge de 1 mois, la négativité de la BU autorise à ne pas réaliser d’ECBU. Avant, la BU a une ...

  3. Il n’y a pas de seuil de bactériurie, sauf chez la femme enceinte, où un seuil de bactériurie à 10 5 UFC /ml est classiquement retenu. La leucocyturie n’intervient pas dans la définition. Les deux seules situations consensuelles pour le dépistage et le traitement des colonisations urinaires sont :

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    • Résumé
    • A – Diagnostic Clinique et Topographique
    • B – Diagnostic bactériologique
    • C – Stratégie Thérapeutique
    • A – Cystite aiguë Simple
    • B – Cystite aiguë à Risque de Complication
    • C – Cystite aiguë récidivante
    • A – Pyélonéphrite aiguë Simple
    • B – Pyélonéphrite aiguë à Risque de Complication
    • C. Pyélonéphrite aiguë Grave
    Les infections urinaires regroupent des tableaux cliniques de symptomatologie et de gravité très variables, en fonction du terrain et du site atteint sur l’arbre urinaire.
    On distingue les infections urinaires simples/à risque de complication/graves et les infections urinaires masculines.
    Sur le plan bactériologique Escherichia coliest au premier rang avec 60 à 80 % des germes identifiés, toutes formes cliniques confondues.

    Les signes fonctionnels urinaires témoignant de l’atteinte vésicale sont les brûlures mictionnelles, la pollakiurie et/ou la présence d’urines troubles ou hématuriques. Le syndrome infectieux peut témoigner d’une atteinte parenchymateuse (rein, prostate) en présence d’une fièvre et de frissons, inconstants, évocateurs d’une bactériémie. Les symptôm...

    La bandelette urinaire (BU) : 1. a une valeur d’orientation par la détection de leucocytes et de nitrites ; 2. nécessite de respecter une méthodologie rigoureuse : bandelettes non périmées, urines fraîches, temps de lecture avant interprétation ; 3. chez la femme symptomatique, l’absence simultanée de leucocytes et de nitrites présente une très bon...

    Elle est conditionnée par l’histoire naturelle et les risques évolutifs de chaque situation. Le choix de l’antibiothérapie repose sur l’efficacité, la tolérance, mais aussi sur le risque écologique individuel et collectif.

    Il s’agit d’une maladie fréquente avec un inconfort variable. Il faut s’assurer cliniquement de l’absence de facteurs de risque de complication ou de pyélonéphrite aiguë pauci-symptomatique (fébricule, lombalgie sourde). Un ECBU n’est pas nécessaire, la BU est le seul examen paraclinique suggéré, orientant le diagnostic. Aucune imagerie n’est requi...

    Il s’agit des cystites aiguës avec présence d’au moins un facteur de risque de complication. Un ECBU doit être systématiquement réalisé. Le principe fondamental est de différer chaque fois que possible l’antibiothérapie pour prescrire un traitement d’emblée adapté à l’antibiogramme et avec la pression de sélection la plus faible possible. Sinon, l’...

    Une cystite est considérée arbitrairement comme récidivante s’il y a eu au moins quatre épisodes pendant une période de 12 mois. Il s’agit d’infections itératives par des bactéries souvent liées à des facteurs favorisants, notamment : 1. relations sexuelles ; 2. boisson insuffisante ; 3. mictions rares ; 4. constipation ; 5. ménopause. Toutefois, i...

    1. ECBU

    Le diagnostic doit être confirmé par un ECBU avec antibiogramme : 1. leucocyturie > 104/mL ; 2. avec bactériurie > 103 UFC/mL pour E. coli et > 104 UFC/mL pour les autres entérobactéries.

    2. Hémocultures

    Il n’est pas nécessaire de réaliser des hémocultures pour une PNA simple dont la présentation est typique, mais seulement en cas de doute diagnostique.

    3. Examens biologiques

    Il est recommandé de ne pas demander systématiquement d’autres examens biologiques (NFS, CRP, créatinine) dans le bilan initial.

    1. Biologie

    Outre la BU et l’ECBU avec antibiogramme, un bilan biologique sanguin est recommandé : CRP, urée, créatinine.

    2. Imagerie

    Un uroscanner est indiqué, le plus souvent en urgence, et au plus tard dans les 24 heures. En cas de contre-indication, ou si la suspicion de complication est faible, l’alternative est une échographie rénale.

    3. Traitement

    Les critères d’hospitalisation ainsi que le traitement probabiliste sont les mêmes que dans la PNA simple, sans signe de gravité. La durée de traitement d’une PNA à risque de complication, sans signe de gravité, est de 10 à 14 jours. Une durée > 21 jours est à discuter dans certaines situations exceptionnelles (abcès rénal par exemple).

    1. Biologie

    Outre la BU et l’ECBU avec antibiogramme, un bilan biologique sanguin est recommandé : NFS, CRP, urée, créatinine. Les hémocultures sont systématiques.

    2. Imagerie

    Un uroscanner est indiqué, le plus souvent en urgence, et au plus tard dans les 24 heures. En cas de contre-indication, l’alternative est une échographie rénale. L’exploration du parenchyme rénal est indispensable à la recherche : 1. d’un obstacle avec dilatation des cavités pyélocalicielles ; 2. d’un foyer de néphrite : hypodensité triangulaire à base externe au temps sécrétoire, pathognomonique de la PNA ; 3. d’un abcès rénal : collection infectieuse intraparenchymateuse ; 4. d’un phlegmon...

    3. Traitement

    L’hospitalisation est systématique. Le traitement comporte une antibiothérapie, initialement probabiliste et un drainage chirurgical des urines en urgence en cas d’obstacle. Les C3G restent indiquées en traitement probabiliste, excepté lorsqu’une infection à BLSE est suspectée (colonisation urinaire ou infection à BLSE < 6 mois, antibiothérapie par pénicilline + inhibiteur, C2G, C3G ou fluoroquinolones < 6 mois, voyage récent en zone d’endémie de BLSE, hospitalisation < 3 mois, vie en long sé...

  4. BU = Examen rapide pour orienter le diagnostic face à un problème urinaire A savoir : Pas d’indication de BU → pour signes cliniques : urines mal odorantes et ou troubles → chez le patient sondé : BU toujours positive sur une sonde urinaire (colonisation à 1 mois) et la leucocyturie non interprétable

  5. Pour information : Chez la femme, la prévalence augmente avec l’activité sexuelle et avec l’âge (1 à 5 % chez la femme jeune contre 20 à 50 % après 80 ans), et est plus élevée chez les patientes diabétiques (8 à 14 %).

  6. 4 sept. 2018 · La BU permet en urgence d’évaluer la probabilité d’infection urinaire. En cas de positivité des bandelettes aux nitrites et aux leucocytes, il faut compléter par un examen cytobactériologique des urines ECBU afin de connaître le germe et l’antibiogramme.