Résultats de recherche
Daphne du maurier - rebecca résumé en français par chapitre. 585 mots 3 pages. Montre plus. Résumé par chapitre. Chapitre 1 Maxim de Winter. La nuit dernière, avec la ligne d'ouverture fameux «J'ai rêvé que je. Manderley est allé à nouveau », un narrateur anonyme de ce livre rappelle son passé.
21 juin 2024 · Avec son charme gothique, ses personnages complexes et son suspense habile, *Rebecca* est une exploration envoûtante de l'identité, de l'obsession et des chaînes invisibles du passé, qui vous captivera dès les premières pages et ne vous laissera plus partir. Auteur : Daphne du Maurier.
Résumé. Une jeune femme, la narratrice anonyme, travaille comme demoiselle de compagnie de Mme Van Hopper, femme mondaine et acariâtre, résidant dans un hôtel de Monte-Carlo. La narratrice, âgée de 20 ans, est très peu sûre d'elle. Elle rencontre Maximilien de Winter, âgé de 42 ans, veuf depuis peu.
Résumé : Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l’ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ?
- (5,3K)
31 oct. 2013 · Peu à peu, face à la morosité ambiante, la nouvelle Mme de Winter pense que son mari ne l'aime pas et qu'elle ne pourra jamais gagner son coeur habité par le souvenir de Rebecca. Le lecteur est gagné, chapitre après chapitre, par l'angoisse et la frayeur de la jeune femme.
29 nov. 2023 · Dans l’ombre étrange de Manderley, une fin inoubliable. Plongeant ses lecteurs dans l’incertitude avec chaque tour de page, l’écrivaine britannique Daphné du Maurier a réussi à créer une atmosphère captivante et mystérieuse dans son roman « Rebecca ».
2 août 2015 · « Rebecca », c’est une sorte d’adaptation moderne de « Jane Eyre » : une jeune fille se marie au-dessus de sa condition avec un homme qui cache de lourds secrets…mais si la précédente épouse dans Jane Eyre est en fait bien vivante, celle de Maxim de Winter est décédée mais c’est comme si elle était toujours là : on ne parle ...