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  1. Ces définitions précisent la nuance déjà relevée par Freud entre l’angoisse et la peur, distinction que nous avons retrouvée chez les philosophes.

    • Epicure : 4 Types de Peur
    • Hobbes : La Peur Comme Fondement de L’État
    • Theodor Adorno et Max Horkheimer : La Peur Du manque de Rationalité

    Épicure (341 av. J.-C. – 271/270 av. J.-C.) était le philosophe grec ancien qui a le plus abordé la question de la peur. Le but de ce penseur était de créer une philosophie pour atteindre le bonheur, dans laquelle le dépassement des peurs comme condition pour atteindre l’épanouissement devait être mise en avant. Epicure a différencié quatre types d...

    Selon la philosophie de Hobbes, la peur est encadrée dans la sphère politique. Et ce, car cette émotion représente le fondement de la formation et de la préservation de l’État. Thomas Hobbes (1588-1679), dans son célèbre livre Léviathan, décrit la nécessité pour le gouvernement de réglementer l’état naturel de l’homme, puisque dans sa condition nat...

    Selon la philosophie d’Adorno et Horkheimer, la peur fait partie d’une critique des Lumières. Dans leur livre Dialectics of the Enlightenment(1947), ces auteurs soulignent que la peur de s’écarter de la raison a absorbé ce mouvement intellectuel, ce qui s’est retourné contre lui. En d’autres termes, les Lumières proposaient comme seule méthode scie...

  2. Il caractérise la peur (timor) comme « un désir d’éviter un mal plus grand, que nous craignons, par un moindre »2. La peur est donc une spécification tout à fait particulière de la crainte, qui est elle-même foncièrement liée à l’espoir.

    • Jean-Marie Vaysse
    • 2012
  3. 20 avr. 2019 · Peur | Philosophie magazine. Cyprien Machtalere publié le 20 avril 2019 2 min. Les philosophes s’arment de courage pour vous rassurer. LUCRÈCE (v. 94-55 av. J.-C.) On peut se débarrasser de la...

  4. www.cairn.info › passions-sociales--9782130798811Peur | Cairn.info

    L’un des plus célèbres apports philosophiques de la peur, que l’on trouve dans les écrits de maturité de Spinoza, est proche de cette définition. Dans ce cas également la peur semble être de manière constitutive couplée à l’espoir du fait de son horizon temporel incertain, et trouve sa différence spécifique dans son contenu ...

  5. Il caractérise la peur (timor) comme « un désir d’éviter un mal plus grand, que nous craignons, par un moindre »( Éthique III, Définitions des affects, XIII, XXXIX). La peur est donc une spécification tout à fait particulière de la crainte, qui est elle-même foncièrement liée à l’espoir.

  6. En explorant les ressorts artistiques de la peur, mais aussi politiques et idéologiques, les auteurs en viennent à la place cruciale de la peur dans nos vies, en interrogeant la pertinence de son élimination et ses ambivalences. La peur aggrave les situations dans lesquelles nous nous trouvons.