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11 mai 2023 · Vous devez respecter une hauteur minimale pour votre mur, chaperon y compris (haut du mur en forme de toit). A noter : la loi ne prévoit pas de hauteur maximale.
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Des règles s'appliquent pour faire des travaux extérieurs à...
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Le propriétaire d'un mur mitoyen peut décider de surélevé le...
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Nous voudrions effectuer une description ici mais le site...
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Le bornage permet de faire respecter les limites de...
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Un mur de soutènement doit évidemment être porté par des fondations robustes et suffisamment profondes pour rester à l’abri du gel. Cette profondeur varie en fonction des régions et du climat. Par exemple, si vous vivez le long des côtes Atlantique ou Méditerranéenne, 50 cm de profondeur suffisent. En revanche, si votre terrain se ...
Plus de 600 kilomètres de côtes françaises sont exposés à l'érosion, mettant en danger de nombreux ouvrages de protection. Les coûts annuels de réparation et de renforcement des murs de soutènement côtiers en France dépassent les 100 millions d'euros. .
- 8 Règles d’Or Pour Construire Un Mur de soutènement
- Les Raisons Des Sinistres Sur Les Murs de soutènement
- Les différents Murs de soutènement
- Les Normes relatives Aux Murs de soutènement
1. Étude de sol
Avant de se lancer dans la construction d’un mur de soutènement, il convient de réaliser une étude de sol pour déterminer la charge que le sol peut supporter. La densité du sol est une valeur importante à prendre en compte car la poussée du sol en dépend. Connaître l’angle de frottement du sol, bien qu’il soit assez complexe à déterminer, est également important puisqu’il fournit à la terre sa stabilité propre. Cette étude géotechnique permet donc de déterminer les mesures du mur de soutèneme...
2. Conception par un bureau d’études
La conception d’un mur de soutènement par un bureau d’étude est fortement recommandée, tout d’abord car l’étude par des techniciens qualifiés permet de dimensionner l’ouvrage correctement en empêchant tout risque de glissement et en prenant en compte les surcharges. Seule une étude réalisée par un bureau de spécialistes permet de savoir quelle contrainte peut recevoir le sol en estimant la poussée des terres qui seront contenues par la paroi du mur. Ainsi, le bureau d’étude pourra donner les...
3. Fondations correctement réalisées
Un soin tout particulier doit être apporté aux semelles de fondations. Cette dernière permet en effet de transmettre la poussée des terres vers le sol. Dans le cas où cette semelle n’est pas correctement réalisée ou équilibrée de manière correcte, cela peut par la suite engendrer des sinistres sur le mur de soutènement. De plus, cet ouvrage étant exposé aux intempéries, il est nécessaire de penser à enterrer suffisamment les semelles afin de les abriter du gel. Cette profondeur est donc dépen...
La raison première aux dégâts sur un mur de soutènement est le non-respect des règles élémentaires lors de sa construction. Découvrons les raisons techniques qui mènent à une mauvaise construction d’un mur de soutènement.
Rappelons tout d’abord qu’un mur de soutènement reçoit une poussée horizontale par les terres qu’il contient. Afin de s’opposer à cette pression, nous pouvons distinguer deux systèmes de soutènement distincts : 1. Le mur “poids”, 2. Le mur dit “autostable”.
Dans le système de normes françaises pré-Eurocodes, il n’existe pas de norme spécifique pour les murs de soutènement. Ces ouvrages doivent donc respecter les normes générales qui traitent des murs et des fondations, à savoir le DTU 13.12, le fascicule 62, le BAEL et le DTU 20.1. Avec les Eurocodes, la section 9 de l’Eurocode 7 est dédiée au calcul ...
Ce guide méthodologique aborde la mise en application de la norme d'application française de l'Eurocode 7 traitant des murs, la norme NF P94-281. Destiné aux géotechniciens et ingénieurs de calcul des structures, il présente les principes de justifications françaises des murs de soutènement découlant de l'Eurocode 7.
Ce guide présente les règles essentielles de conception et de calcul des ouvrages de soutènement. La première partie présente les principaux types d'ouvrages existants et leur domaine d'emploi : les murs poids, les murs préfabriqués, les murs en béton armé ou murs cantilever, les rideaux de palplanches métalliques, les parois moulées ...
4 mètres de hauteur maximale pour un mur de soutènement La hauteur maximale du mur de soutènement ne peut dépasser 4 mètres, pour des raisons de sécurité. Consulter les normes DTU liées à la construction