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  1. Texte 1 : Les Animaux malades de la peste, Livre VII, 1 (1678) Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron1, Faisait aux animaux la guerre.

  2. Les animaux malades de la peste. Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom), 5 Capable d’enrichir en un jour l’Achéron, Faisait aux animaux la guerre.

    • Cycle 3 Littérature
    • À Madame de Montespan
    • Les animaux malades de la peste
    • Le mal marié
    • Le rat qui s'est retiré du monde
    • Le héron
    • La fille
    • Les souhaits
    • La cour du lion
    • Les vautours et les pigeons
    • Le coche et la mouche
    • La laitière et le pot au lait
    • Le curé et le mort
    • Jean de La Fontaine
    • Les deux coqs
    • Jean de La Fontaine
    • Les devineresses
    • Jean de La Fontaine
    • La tête et la queue du serpent
    • Un animal dans la lune
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    À Madame de Montespan Les animaux malades de la peste Le mal marié Le rat qui s'est retiré du monde Le héron La fille Les souhaits La cour du lion Les vautours et les pigeons Le coche et la mouche La laitière et le pot au lait Le curé et le mort

    L'apologue est un don qui vient des Immortels ; Ou, si c'est un présent des hommes, Quiconque nous l'a fait mérite des autels : Nous devons, tous tant que nous sommes, Ériger en divinité Le sage par qui fut ce bel art inventé. C'est proprement un charme: il rend l'âme attentive, Ou plutôt il la tient captive, Nous attachant à des récits Qui mènent ...

    Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés À chercher le soutien d'une mourante vie ...

    Que le bon soit toujours camarade du beau, Dès demain je chercherai femme ; Mais comme le divorce entre eux n'est pas nouveau, Et que peu de beaux corps, hôtes d'une belle âme, Assemblent l'un et l'autre point, Ne trouvez pas mauvais que je ne cherche point. J'ai vu beaucoup d'hymens; aucuns d'eux ne me tentent: Cependant des humains presque les qu...

    Les Levantins en leur légende Disent qu'un certain rat, las des soins d'ici-bas, Dans un fromage de Hollande Se retira loin du tracas. La solitude était profonde, S'étendant partout à la ronde. Notre ermite nouveau subsistait là dedans. Il fit tant, de pieds et de dents, Qu'en peu de jours il eut au fond de l'ermitage Le vivre et le couvert ; que f...

    Un jour, sur ses longs pieds, allait, je ne sais où, Le héron au long bec emmanché d'un long cou : Il côtoyait une rivière. L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ; Ma commère la carpe y faisait mille tours, Avec le brochet son compère. Le héron en eût fait aisément son profit : Tous approchaient du bord, l'oiseau n'avait qu'à pren...

    Certaine fille, un peu trop fière, Prétendait trouver un mari Jeune, bien fait et beau, d'agréable manière, Point froid et point jaloux : notez ces deux points-ci. Cette fille voulait aussi Qu'il eût du bien, de la naissance, De l'esprit, enfin tout. Mais qui peut tout avoir ? Le destin se montra soigneux de la pourvoir : Il vint des partis d'impor...

    Il est au Mogol des follets Qui font office de valets, Tiennent la maison propre, ont soin de l'équipage, Et quelquefois du jardinage. Si vous touchez à leur ouvrage, Vous gâtez tout. Un d'eux près du Gange autrefois Cultivait le jardin d'un assez bon bourgeois. Il travaillait sans bruit, avec beaucoup d'adresse, Aimait le maître et la maîtresse, E...

    Sa Majesté lionne un jour voulut connaître De quelles nations le ciel l'avait fait maître. Il manda donc par députés Ses vassaux de toute nature, Envoyant de tous les côtés Une circulaire écriture, Avec son sceau. L'écrit portait Qu'un mois durant le roi tiendrait Cour plénière, dont l'ouverture Devait être un fort grand festin, Suivi des tours de ...

    Mars autrefois mit tout l'air en émute. Certain sujet fit naître la dispute Chez les oiseaux, non ceux que le Printemps Mène à sa cour, et qui, sous la feuillée, Par leur exemple et leurs sons éclatants, Font que Vénus est en nous réveillée; Ni ceux encor que la mère d'Amour Met à son char ; mais le peuple vautour, Au bec retors, à la tranchante se...

    Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche. Femmes, moine, vieillards, tout était descendu. L'attelage suait, soufflait, était rendu. Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment...

    Perrette, sur sa tête ayant un pot de lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats. Notre laitière ainsi troussée Comptait déjà dans sa pensée Tout le prix de son lait; en employant l'argent...

    Un mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte ; Un curé s'en allait gaiement Enterrer ce mort au plus vite. Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le pasteur était à côté, Et récitait, à l'ordinaire, M...

    Qui ne court après la fortune ? Je voudrais être en lieu d'où je pusse aisément Contempler la foule importune De ceux qui cherchent vainement Cette fille du Sort, de royaume en royaume, Fidèles courtisans d'un volage fantôme. Quand ils sont près du bon moment, L'inconstante aussitôt à leurs désirs échappe. Pauvres gens, je les plains ; car on a pou...

    Deux coqs vivaient en paix : une poule survint, Et voilà la guerre allumée. Amour, tu perdis Troie ; et c'est de toi que vint Cette querelle envenimée Où du sang des Dieux même on vit le Xanthe teint. Longtemps entre nos coqs le combat se maintint ; Le bruit s'en répandit par tout le voisinage : La gent qui porte crête au spectacle accourut. Plus d...

    Un trafiquant sur mer, par bonheur, s'enrichit. Il triompha des vents pendant plus d'un voyage : Gouffre, banc, ni rocher n'exigea de péage D'aucun de ses ballots ; le sort s'en affranchit. Sur tous ses compagnons Atropos et Neptune Recueillirent leur droit, tandis que la Fortune Prenait soin d'amener son marchand à bon port. Facteurs, associés, ch...

    C'est souvent du hasard que naît l'opinion, Et c'est l'opinion qui fait toujours la vogue. Je pourrais fonder ce prologue Sur gens de tous états : tout est prévention, Cabale, entêtement; point ou peu de justice : C'est un torrent; qu'y faire ? Il faut qu'il ait son cours : Cela fut et sera toujours. Une femme, à Paris, faisait la pythonisse : On l...

    Du palais d'un jeune lapin Dame belette, un beau matin, S'empara : c'est une rusée. Le maître étant absent, ce lui fut chose aisée. Elle porta chez lui ses pénates, un jour Qu'il était allé faire à l'aurore sa cour, Parmi le thym et la rosée. Après qu'il eut brouté, trotté, fait tous ses tours, Jeannot Lapin retourne aux souterrains séjours. La bel...

    Le serpent a deux parties Du genre humain ennemies, Tête et queue ; et toutes deux Ont acquis un nom fameux Auprès des Parques cruelles : Si bien qu'autrefois entre elles Il survint de grands débats Pour le pas. La tête avait toujours marché devant la queue. La queue au Ciel se plaignit, Et lui dit : « Je fais mainte et mainte lieue, Comme il plaît...

    Pendant qu'un philosophe assure Que toujours par leurs sens les hommes sont dupés, Un autre philosophe jure Qu'ils ne nous ont jamais trompés. Tous les deux ont raison ; et la philosophie Dit vrai, quand elle dit que les sens tromperont, Mais que sur leur rapport les hommes jugeront ; Mais aussi, si l'on rectifie L'image de l'objet sur son éloignem...

    Téléchargez le PDF du livre 7 des fables de La Fontaine, qui contient la fable des animaux malades de la peste. Découvrez comment les animaux se sacrifient pour éviter la punition divine.

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  3. Les Animaux malades de la peste. Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, 45 La Peste1 (puisqu'il faut l'appeler par son nom) 5 Capable d'enrichir en un jour l'Achéron2, Faisait aux animaux la guerre.

  4. LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE. Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur. Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisquil faut l’appeler par son nom), Capable d’enrichir en un jour l’Achéron, Faisait aux animaux la guerre.

  5. (2) Les animaux malades de la peste, fable longue et hétérométrique (alexandrins, octosyllabes et un trisyllabe), croquent une faune souffrant d’un mal épouvantable, qui s’est abattu sur elle, la peste. Il faut l’éradiquer pour enrayer l’épidémie.

  6. Une fiche sur la fable de La Fontaine qui critique la justice et le pouvoir du 17ème siècle. Téléchargez le texte en PDF, écoutez l'audio et consultez le commentaire détaillé.

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    les animaux malades de la peste