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LE PORTRAIT OVALE (partie 2) « C’était une jeune fille d’une très rare beauté, et qui n’était pas moins aimable que pleine de gaieté. Et maudite fut l’heure où elle vit, et aima, et épousa le peintre. Lui, passionné, studieux,
C’était le portrait d’une jeune fille déjà mûris-sante et presque femme. Je jetai sur la peinture un coup d’oeil rapide, et je fermai les yeux. Pourquoi, – je ne le compris pas bien moi-même tout d’abord. Mais pendant que mes paupières restaient closes, j’analysai ra-pidement la raison qui me les faisait fermer ainsi.
Edgar ALLAN POE, Le Portrait ovale, 1842 (trad. par Baudelaire en 1857 et publié dans Nouvelles histoires extraordinaires). Le château dans lequel mon domestique s’était avisé de pénétrer de force, plutôt que de me permettre, déplorablement blessé comme je l’étais, de passer une nuit en plein air, était un de ces bâtiments ...
ement le volume qui contenait l’analyse des ta-bleaux et leur histoire. Allant droit au numéro qui désignait le portrait ovale, j’y lus le vague et singulier récit qui suit : – « C’était une jeune fille d’une trè. -rare beauté, et qui n’était pas moins aimable que pleine de gaiet.
Analyser le style poétique et les symboles de Le Portrait ovale de Poe, où l'obsession artistique conduit à une tragédie inévitable.
29 juin 2022 · Un homme blessé et son domestique s'installent pour une nuit dans un château étrange et abandonné des Appennins. La nuit, alors que le maître ne trouve pas le sommeil, il contemple les tableaux exposés dans sa chambre, tout en lisant le volume trouvé sur son oreiller contenant l'analyse de ces toiles.
LE PORTRAIT OVALE (4e) Le narrateur, blessé, est porté par son domestique, Pedro, dans un château perdu des montagnes italiennes, récemment abandonné. Il va passer la nuit dans l’une des chambres. Elle était située dans une tour écartée du bâtiment.