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Élisabeth était la fille du roi Henri VIII, et le cinquième et dernier membre de la dynastie des Tudor sur le trône anglais. L'exécution de sa mère Anne Boleyn, trois ans après sa naissance, lui fit perdre son titre de princesse, reçu à sa naissance et entériné par le Second Acte de Succession.
- La difficile Accession Au Trône D’ Élisabeth I
- La Question Religieuse
- Élisabeth I et l'exercice Du Pouvoir
- Le Problème Marie Stuart
- La Politique Internationale D’ Élisabeth Ire
- La « Reine Vierge »
- Le Règne d’Élisabeth Ire : Un Âge d’Or ?
Ce n’est pas dans les meilleures conditions qu’Elisabeth monte sur le trône en 1558. Née en 1533 à Greenwich, elle est la fille d’Anne Boleyn, deuxième femme d’Henri VIII, qui a fini décapitée sur ordre de ce dernier. La réputation plus que sulfureuse de sa mère suit la jeune princesse Elisabeth, et cela continuera une partie de son règne. Elle n’e...
Celle qui a affiché son catholicisme (de façade sans doute) sous Marie Tudor est aussi celle qui créé l’Eglise anglicane. Il y a toutefois débat sur le rôle exact de la reine durant cette période, tout comme sur ses motivations. Elle affiche surtout un vrai pragmatisme. Cela aboutit au vote de l’acte d’Uniformité et de l’acte de Suprématie dès 1559...
La façon de gouverner de la reine est elle aussi marquée par le pragmatisme. Elisabeth conserve tout d’abord l’essentiel des conseillers de Marie Tudor, mais se sépare des ecclésiastiques pour en faire un organe de gouvernement uniquement laïc. Se forme un clan autour de son conseiller principal, l’expérimenté secrétaire d’Etat William Cecil, et la...
Dans le contexte de l’établissement de l’Eglise anglicane, Elisabeth voit se dresser une rivale de poids en la personne de Marie Stuart. Celle-ci l’avait déjà menacée lors de son accession au trône, mais la rivalité se transforme en conflit quand les catholiques prennent le parti de la reine d’Ecosse. Elisabeth est cependant plus habile en agitant ...
Le règne d’Elisabeth est marqué par le véritable début de l’essor maritime et colonial de l’Angleterre. Cependant, elle se heurte quelques obstacles, en particulier l’Espagne. Toutefois, l’Angleterre commence son expansion outremer. C’est le moment des explorations de Francis Drake (au tournant des années 1580), de la création de la Compagnie des I...
Une grande partie du mythe d’Elisabeth, qu’elle a contribué à fabriquer, est celui de sa virginité. Elle n’a jamais été mariée et n’a eu aucun enfant. Les débats sont nombreux sur le sujet, même si l'on suppose qu’elle a eu des amants, comme Robert Dudley ou Robert d’Essex. Elle a en revanche refusé les mains les plus prestigieuses, de Philippe II ...
La personnalité de la reine, sa manière de gouverner, sa propre « propagande » ont contribué à en faire une reine presque mythique, vivant à une époque exceptionnelle pour l’Angleterre. On sait cependant que, si elle a été une grande reine, Elisabeth était aussi critiquée pour son caractère colérique, son autoritarisme, ses difficultés parfois à pr...
6 juin 2022 · Qui était Élisabeth Ire, dernière représentante de la dynastie Tudor ? Si le monde a aujourd’hui les yeux rivés sur Élisabeth II, dont on vient de célèbrer le jubilé de platine après un règne record de 70 ans, Élisabeth Ire avait en son temps placé la barre très haut pour les monarques qui devaient lui succéder.
Sous Élisabeth I re, le petit royaume d'Angleterre, cerné au nord par une Écosse indépendante et hostile, à l'ouest par une Irlande incontrôlée, sur le continent par l'essor des grandes monarchies absolutistes d'Espagne et de France, se révèle, au cours de péripéties dramatiques, un partenaire majeur de l'aventure européenne et ...
15 févr. 2018 · Fille d'un roi d'Angleterre mais d'une épouse répudiée et condamnée, Elisabeth Ire finit malgré tout par accéder au trône et règne seule pendant 44 ans. Dans une Angleterre divisée entre catholiques et protestants, son règne est notamment marquée par une plus grande tolérance religieuse.
26 mai 2020 · Élisabeth Ire régna en tant que reine d'Angleterre de 1558 à 1603. Son règne de 44 ans fut si long et si riche en événements mémorables que la seconde moitié du XVIe siècle est maintenant connue sous le nom d'ère élisabéthaine et toujours considérée comme un «âge d'or» pour l'Angleterre.
Le bref règne de celui-ci (1547-1553) est avant tout marqué – dans le tumulte des intrigues et des passions religieuses – par les progrès décisifs du radicalisme religieux. Édouard VI, lui-même remarquablement instruit et acquis aux nouvelles tendances, ne joue que tard un rôle personnel.