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  1. Le cycle de leau est aujourd’hui bien compris : évaporation, transport dans l’atmosphère par le vent et les nuages, retombée sous forme de pluie et de neige, écoulement sur les continents et retour aux océans.

  2. Le cycle de leau en 6 étapes. 1. Evaporation et transpiration des végétaux. Sous l’effet de l’énergie solaire, l’eau des mers et des océans s’évapore dans l’atmosphère sans le sel et les autres impuretés. L’évaporation est plus importante au niveau des océans qu’à l’intérieur des terres: lacs, rivières et fleuves.

  3. différentes étapes du cycle de l'eau. Sur les traits: vent, fleuve, pluie, mer, glacier, rivière, neige. Dans les étiquettes: infiltration, condensation, ruissellement, fusion, évaporation.

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    • 1. Hydrologie
    • 2. L'hydrologie de surface
    • 3. Domaines d'applications
    • 4. Le cycle de l’eau sur le bassin versant
    • 4.1. Les paramètres du cycle de l'eau
    • 4.2. Calcul du bilan hydrologique
    • 1. Définition d’un bassin versant
    • 1.1.Bassin versant topographique
    • 2.1.1. Surface A
    • 2.1.2. Longueur
    • 3. Caractéristiques du réseau hydrographique
    • 5. Le Couvert Végétal
    • 1. Définition :
    • 2. Définition da la hauteur de précipitation
    • 2.1. Mesure de la hauteur d’eau précipitée :
    • 2.2. Les réseaux de mesure et la collecte de donnée :
    • 2.3.Erreurs de la mesure des précipitations
    • 4. Evaluation régionale des précipitations
    • 4.2.La méthode des polygones de Thiessen
    • Évaporation
    • Evapotranspiration
    • 2. Facteurs conditionnent le taux d’évaporation
    • 3. Estimation de l’évapotranspiration potentielle
    • 4. Infiltration
    • 4.1.Facteurs d’influence sur l’infiltration
    • Chapitre V : homogénéisation et contrôle des données
    • Le comblement des données manquantes
    • Plusieurs méthodes d’approche:
    • Px,a
    • Exemple de calcul
    • Principe de la méthode:
    • La méthode est fondée sur le principe suivant:

    L’hydrologie peut se définir comme l'étude du cycle de l'eau et l'estimation de ses différents flux. L'hydrologie au sens large regroupe : la climatologie, pour la partie aérienne du cycle de l'eau (précipitations, retour à l'atmosphère, transferts, etc.) ; l'hydrologie de surface au sens strict, pour les écoulements à la surface des continents ; l...

    Est la science qui traite essentiellement des problèmes qualitatifs et quantitatifs des écoulements à la surface des continents. Ces problèmes se ramènent généralement à des prévisions (associer à une date une certaine grandeur) ou des prédéterminations (associer à une grandeur une certaine probabilité) de débits ou de volume en un point ou sur une...

    Les domaines d'application de l'hydrologie de surface sont également très variés. Parmi les plus importants et les plus classiques, on notera : l'agriculture : irrigation, drainage ; l'étude des ressources en eaux : eau potable, eau pour l'industrie ; la lutte contre la pollution; le transport solide (dépôt ou érosion) ; la sécurité des biens et de...

    Le cycle de l'eau, appelé aussi cycle hydrologique, est l'ensemble des cheminements que peut suivre une particule d'eau. Ces mouvements, accompagnés de changements d'état, peuvent s'effectuer dans l'atmosphère, à la surface du sol et dans le sous-sol. Chaque particule n'effectue qu'une partie de ce cycle et avec des durées très variables : une gout...

    Les éléments qui composent le cycle de l'eau sont respectivement : Les précipitations : eaux météoriques qui tombent sur la surface de la terre, sous forme liquide (pluie, averse) et / ou solide (neige, grêle) ainsi que les précipitations déposées ou occultes (rosée,...). L'évaporation : passage de la phase liquide à la phase vapeur, il s'agit ...

    Il est intéressant de noter que dans chacune des phases on retrouve respectivement un transport d'eau, un emmagasinement temporaire et parfois un changement d'état. Il s'ensuit que l'estimation des quantités d'eau passant par chacune des étapes du cycle hydrologique peut se faire à l'aide d'une équation appelée "hydrologique" qui est le bilan des q...

    Le bassin versant en une section d'un cours d'eau est défini comme la surface drainée par ce cours d'eau et ses affluents en amont de la section. Tout écoulement prenant naissance à l'intérieur de cette surface doit donc traverser la section considérée, appelée exutoire, pour poursuivre son trajet vers l'aval. Selon la nature des terrains, nous ser...

    Si le sous-sol est imperméable, le cheminement de l'eau ne sera déterminé que par la topographie. Le bassin versant sera alors limité par des lignes de crêtes et des lignes de plus grande pente comme le montre la figure ci-jointe.

    La surface du bassin versant est la première et la plus importante des caractéristiques. Elle s'obtient par planimétrage sur une carte topographique après que l'on y ait tracé les limites topographiques et éventuellement hydrogéologiques. La surface A d'un bassin s'exprime généralement en km2.

    On utilise différentes caractéristiques de longueur ; la première et une des plus utilisées est le "périmètre P du bassin versant". Schématisation du périmètre d’un bassin Ajout d’un périmètre fictif versant pour un bassin versant repliè Le périmètre est curvimétré sur carte cartographique mais, selon l'échelle de la carte, les détails sont plus ou...

    Le réseau hydrographique est constitué de l'ensemble des chenaux qui drainent les eaux de surface vers l'exutoire du bassin versant. Le réseau hydrographique peut se caractériser par trois éléments : sa hiérarchisation ; son développement (nombres et longueurs des cours d'eau) ; et son profil en long. La différentiation d’un réseau hydrographique...

    Le couvert végétal influe beaucoup sur les quantités d'eau disponibles pour l'écoulement de surface. En effet, l'évapotranspiration par les végétaux est très importante et elle varie selon la nature des végétaux (forêts, cultures, prairies, etc.). Par ailleurs, la végétation joue également un rôle atténuateur important en période de crue : en effet...

    Les précipitations constituent la principale « entrée » des principaux systèmes hydrologique, englobent toutes les eaux météoriques qui tombent sur la surface de la terre tant sous forme liquide que sous forme solide. Sont le facteur essentiel des régimes hydrologiques puisqu’elles constituent la matière première des débits des cours d’eau, elles...

    Epaisseur, comptée suivant la verticale, de la lame précipitée qui s’accumulerait sur une surface horizontale, si immobilisées. toutes les précipitations relevées par celle-ci s’y trouveraient

    Quelle que soit la forme de la précipitation, liquide ou solide, on mesure la quantité d’eau tombée durant un certain laps temps. Les principaux instruments de mesures des précipitations sont le « Pluviomètre et le Pluviographe ».

    Les données sont récolté au cours de la journée pour les différents paramètres et sont reporté sur les fiche journalier qui une fait donnant des fiches mensuelles et ensuite annuelles.

    Erreurs d’observation (erreurs de lecture, fuites, évaporation, débordement, ...) ; Erreurs de transcription et de calcul ; Erreurs de copie (dans les centres de collecte des données).

    L'analyse spatiale tient compte des mesures issues de plusieurs stations et a pour but le calcul des précipitations moyennes à l'échelle d'un bassin versant. Parmi les méthodes utilisées: la moyenne arithmétique, la méthode des polygones de Thiessen et la méthode des isohyètes.

    Cette méthode appelée encore moyenne pondérée est utilisée quand le réseau de mesure a une répartition non homogène. La précipitation moyenne pondérée Pmoy pour le bassin, se calcule alors en effectuant la somme des précipitations Pi de chaque station, multipliées par leur facteur de pondération (aire Ai), le tout divisé par la surface totale A du ...

    Pertes en eau, chauffées par le soleil, les molécules superficielles de l'eau emmagasinent suffisamment d'énergie pour se libérer de l'attraction qui les lie entre elles, puis elles s'évaporent et montent dans l'atmosphère sous forme de vapeur invisible.

    On appelle évapotranspiration ou évaporation totale (ET) l'ensemble des phénomènes d'évaporation (processus physiques) et de transpiration (phénomènes biologiques).

    Deux facteurs conditionnent le taux d’évaporation : Les paramètres caractérisant l’état de l’atmosphère au voisinage de la surface évaporante et son aptitude à provoquer l’évaporation. Les facteurs principaux du pouvoir évaporant : l’insolation, température de l’air, la vitesse et la turbulence du vent, le déficit de saturation de l’atmosphère et l...

    L’évapotranspiration potentielle ou de référence (ETo), utilisée dans le calcul des besoins en eau des plantes, peut être estimée par des formules empiriques utilisant des paramètres climatiques disponibles: Température ; vitesse du vent ; humidité de l’air et radiation.

    L'infiltration désigne en hydrologie et sciences de la terre, le processus par lequel l'eau pénètre le sol ou un autre substrat à partir de la surface du sol ou du substrat. Si le taux de précipitations dépasse le taux d'infiltration (et d'évaporation-évapotranspiration, l'évapotranspiration potentielle), un phénomène de ruissellement se produit ha...

    Nature du sol ; Pente ; Température ; Durée et intensité de la pluie ; Végétation ; Sous couche (drainage).

    Une information pluviométrique : peut contenir des valeurs observées erronées; peut être constituée par des séries non homogènes; peut manquer de quelques valeurs observées; peut être courte ne permettant pas d’extraire des paramètres statistiques significatifs. Ainsi avant toute étude hydrologique, il est recommandé de vérifier si la série ...

    En l’absence d’anomalie, deux stations A, B, voisines mesurent chaque année une pluviométrie annuelle dans un rapport sensiblement constant d’une année à l’autre, que l’année soit sèche ou humide. Soit: ( ) ( ) En conséquence les points M(i) de coordonnées les pluies cumulées calculées à chaque station A et B jusqu’à l’année i sont pratiquement ali...

    En l’absence d’anomalie, deux stations A, B, voisines mesurent chaque année une pluviométrie annuelle dans un rapport sensiblement constant d’une année à l’autre, que l’année soit sèche ou humide. Soit: ( ) ( ) En conséquence les points M(i) de coordonnées les pluies cumulées calculées à chaque station A et B jusqu’à l’année i sont pratiquement ali...

    En l’absence d’anomalie, deux stations A, B, voisines mesurent chaque année une pluviométrie annuelle dans un rapport sensiblement constant d’une année à l’autre, que l’année soit sèche ou humide. Soit: ( ) ( ) En conséquence les points M(i) de coordonnées les pluies cumulées calculées à chaque station A et B jusqu’à l’année i sont pratiquement ali...

    En l’absence d’anomalie, deux stations A, B, voisines mesurent chaque année une pluviométrie annuelle dans un rapport sensiblement constant d’une année à l’autre, que l’année soit sèche ou humide. Soit: ( ) ( ) En conséquence les points M(i) de coordonnées les pluies cumulées calculées à chaque station A et B jusqu’à l’année i sont pratiquement ali...

    En l’absence d’anomalie, deux stations A, B, voisines mesurent chaque année une pluviométrie annuelle dans un rapport sensiblement constant d’une année à l’autre, que l’année soit sèche ou humide. Soit: ( ) ( ) En conséquence les points M(i) de coordonnées les pluies cumulées calculées à chaque station A et B jusqu’à l’année i sont pratiquement ali...

    En l’absence d’anomalie, deux stations A, B, voisines mesurent chaque année une pluviométrie annuelle dans un rapport sensiblement constant d’une année à l’autre, que l’année soit sèche ou humide. Soit: ( ) ( ) En conséquence les points M(i) de coordonnées les pluies cumulées calculées à chaque station A et B jusqu’à l’année i sont pratiquement ali...

  4. Le cycle de leau. L’eau sous toutes ses formes. L’eau recouvre 72 % de la surface du globe. Elle est un des éléments fondamentaux de notre planète. Liquide, solide ou gazeuse, elle est présente partout autour de nous sous des formes très variées : les océans et les mers ;

  5. La nature de l'eau 1. ORIGINALITÉ ET STRUCTURE DE L'EAU Pour les Anciens, le monde résultait de la combinaison de quatre éléments : le feu, la terre, l'airet l'eau. Combien de temps, combien d'errances, com­ bien de polémiques a-t-ilfallu avant que l'onpuisse écrire « eau = H20 »?

  6. Le cycle de leau (Figure 1) décompose le phénomène complexe de ces transformations successives de l’eau en différents états. Les 3 phases principales du cycle peuvent être résumées ainsi : évaporation, précipitation, écoulements souterrains et de surface. Leur élément moteur est l’énergie solaire (Musy, 1998).

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