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  1. Le conte de Cendrillon est un récit d'origine orale, source d'inspiration pour toutes les disciplines artistiques. Il s'est ainsi propagé à travers les siècles et les continents. On dénombre aujourd’hui plus de cinq cents versions.

  2. Le soir, lorsqu’elle était épuisée de travail, elle ne se couchait pas dans un lit, mais devait s’étendre près du foyer dans les cendres. Et parce que cela lui donnait toujours un air poussiéreux et sale, elles l’appelèrent Cendrillon.

  3. On la mena chez le jeune prince, parée comme elle était : il la trouva encore plus belle que jamais, et peu de jours après, il l'épousa. Cendrillon, qui était aussi bonne que belle, fit loger ses deux sœurs au palais, et les maria le jour même à deux grands seigneurs de la cour. Collectif, Contes traditionnels, ill.

  4. Cendrillon arriva chez elle, bien essoufflée, sans carrosse, sans laquais, et avec ses méchants habits ; rien ne lui étant resté de sa magnificence qu'une de ses petites pantoufles, la pareille de celle qu'elle avait laissé tomber.

  5. Conte pour petits et grands à partir de 4 ans. Temps de lecture : 13 minutes. Conte original de Charles Perrault modernisé en 1902 par Pierre Féron, retouché par contesdefees.com. Illustrations de Gustave Doré et Arthur Rackham.

  6. Cendrillon Contes Le lendemain les deux sœurs furent au bal, et Cendrillon aussi, mais encore plus parée que la première fois. Le fils du roi fut toujours auprès d'elle, et ne cessa de lui conter des douceurs; la jeune demoiselle ne s'ennuyait point, et oublia ce que sa marraine lui avait recommandé ; de sorte qu'elle entendit sonner le ...

  7. Cendrillon, ou la petite pantoufle de verre de Charles Perrault édition de 1697 originale; Cendrillon de Charles Perrault édition de 1697 modernisée; Cendrillon, Images d’Épinal

  8. Cendrillon, ou la petite pantoufle de verre. Histoires ou Contes du temps passé, Claude Barbin, 1697 (p. 117 - 148). Il eſtoit une fois un gentil-homme qui épouſa en ſecondes une femme, la plus hautaine & la plus fiere qu’on eut jamais veuë. Elle avoit deux filles de ſon humeur, & qui luy reſſembloient en toutes choſes.

  9. La cadette, qui n'était pas si malhonnête que son aînée, l'appelait Cendrillon ; cependant Cendrillon, avec ses méchants habits, ne laissait pas d'être cent fois plus belle que ses sœurs, quoique vêtues très magnifiquement.

  10. Lorsqu’elle avait fait son ouvrage, elle s’allait mettre au coin de la cheminée, et s’asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu’on l’appelait communément dans le logis Cendrillon. Cependant Cendrillon, avec ses méchants habits, ne laissait pas d’être cent fois plus digne que ses sœurs, quoique vêtues très magnifiquement.