Yahoo France Recherche Web

Résultats de recherche

  1. Sous la pression de la Ligue et de son chef, le très populaire duc de Guise, Henri III se voit contraint de signer le traité de Nemours le 7 juillet 1585. Le roi s'y engage à « bouter les hérétiques hors du royaume » et à faire la guerre à Henri de Navarre, son propre héritier.

  2. Henri IV, dit « le Grand » ou « Le Vert Galant », ou encore « Le Bon Roi Henri », né sous le nom d'Henri de Bourbon le 13 décembre 1553 à Pau et mort assassiné le 14 mai 1610 à Paris, est roi de Navarre à partir du 9 juin 1572 sous le nom d'Henri III [a], et roi de France sous le nom d'Henri IV du 2 août 1589 jusqu'à sa mort en 1610.

  3. Henri III, chassé de Paris, se rapproche dHenri de Navarre ; il se réconcilie avec lui au château de Plessis-les-Tours. Ceci lui coûtera la vie : il est assassiné en 1589 par un moine dominicain, Jacques Clément. Henri de Navarre, devenu le roi Henri IV de France, ne sera sacré à Chartres (27 février 1594) qu’après avoir abjuré le protestantisme.

    • Le Duc D’Anjou, Futur Henri III
    • Dans La Tourmente Des Guerres de Religion
    • De Roi de Pologne à Roi de France
    • La Guerre Des Trois Henri
    • Henri III, Le Dernier Des Valois
    • GeneratedCaptionsTabForHeroSec

    Né le 19 septembre 1551, Henri de France est le quatrième fils d'Henri II, roi de France et de Catherine de Médicis. Il est, dans un premier temps, baptisé sous le prénom d'Alexandre-Édouard. Le choix du prénom Edouard ne doit rien au hasard, et résume à lui seul les contradictions politiques et religieuses qui agitent le royaume de France d’alors....

    Second dirigeant militaire de France après son frère le roi Charles IX, Henri se fait un ennemi du chef du parti protestant, le redoutable prince de Condé, qui convoitait cette charge. Leur brouille, provoque le départ de la cour de Condé, et le début de la deuxième guerre de religion(1567). Henri soucieux de protéger l’autorité royale, s’affirme c...

    Le jeune Roi, certes bien conscient de la nécessité de la tolérance religieuse au sein de ses nouveaux états, ne peut souffrir l’indépendance de la Diète et de la noblesse. Il tente par tous les moyens d’affermir son autorité, sans y parvenir totalement et ce ,malgré une grande implication dans ses nouvelles tâches. Henri doit admettre qu’il « règn...

    1584 : sept ans de paix relative, sept ans de consolidation de l’autorité royale, sept ans d’un intense travail législatif et pourtant Henri sait son trône en danger. Après presque dix ans de mariage avec Louise de Lorraine, il n’a toujours pas d’héritier et voilà que son frère, qui s’affirmait comme un successeur de valeur, meurt de la tuberculose...

    Comme le prouvent ses actes, Henri III eut toujours pour objectif de maintenir et de renforcer l’autorité royale, et ce dans un contexte hautement défavorable. Sa personnalité complexe et ses revirements (souvent dictés par les circonstances) lui ont valu une réputation peu enviable. Cependant cette dernière tient largement à la propagande haineuse...

    Henri III, dernier souverain de la dynastie des Valois, a régné de 1574 à 1589. Il a été un législateur habile, un général compétent et un protecteur de l'art, mais aussi un monarque controversé, assassiné par un moine fanatisé.

  4. www.larousse.fr › personnage › Henri_IIIHenri III - LAROUSSE

    Le principal objectif d'Henri III est maintenant de reprendre Paris, dont il a été chassé. Avec Henri de Navarre, il entame le siège de la capitale, retranchée derrière la solide enceinte érigée par Charles V, que défendent les 45 000 hommes de la milice bourgeoise, armée par l'Espagne de Philippe II. Après plusieurs victoires ...

  5. Leur fils Henri, né en 1553, devient en 1562 premier prince du sang en France et en 1572 roi de Navarre sous le nom d'Henri III. L'accession d' Henri III de Navarre au trône de France. En 1584, à la mort du duc François d'Anjou, Henri III de Navarre devient héritier présomptif du trône de France, au cas (probable) où Henri ...

  6. Cependant, les guerres de religion reprennent avec à la tête de l' Union calviniste le roi Henri III de Navarre, qui est le cousin du roi de France. « Monsieur », duc d'Alençon et jeune frère du roi, négocie la paix de Beaulieu-lès-Loches en 1576.