Yahoo France Recherche Web

  1. amazon.fr a été visité par plus de 1 million utilisateurs le mois dernier

    Des millions de titres en stock. Livrés chez vous en 1 jour.

Résultats de recherche

  1. Clair de lune. Paul Verlaine. Votre âme est un paysage choisi. Que vont charmant masques et bergamasques. Jouant du luth et dansant et quasi. Tristes sous leurs déguisements fantasques. Tout en chantant sur le mode mineur. L’amour vainqueur et la vie opportune, Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur.

  2. Clair de lune. Victor Hugo. La lune était sereine et jouait sur les flots. La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d’un flot d’argent brode les noirs îlots. De ses doigts en vibrant s’échappe la guitare. Elle écoute…. Un bruit sourd frappe les sourds échos.

  3. Clair de Lune. Guillaume Apollinaire. Lune mellifluente aux lèvres des déments. Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands. Les astres assez bien figurent les abeilles. De ce miel lumineux qui dégoutte des treilles. Car voici que tout doux et leur tombant du ciel. Chaque rayon de lune est un rayon de miel.

  4. Clair de lune est un poème de Paul Verlaine tiré de son recueil Fêtes galantes (1869). Texte du poème [ modifier | modifier le code] Votre âme est un paysage choisi. Que vont charmant masques et bergamasques. Jouant du luth et dansant et quasi. Tristes sous leurs déguisements fantasques. Tout en chantant sur le mode mineur.

    • Paul Verlaine
    • Fêtes galantes
    • 1869
    • Clair de lune
  5. Le poème Clair de lune est le premier poème du recueil. Dans ce recueil, Verlaine décrit des scènes de fête et de divertissement, dans des atmosphères festives ou tristes. Ce poème montre bien cette ambgüité. Le poème est constitué de 3 quatrains de décasyllabes.

  6. Le poème Clair de lune est composé de 5 quatrains aux rimes embrassées. Nous retrouvons un caractère descriptif et informatif. Evocation d’une sultane à sa fenêtre intriguée par un bruit venant de la mer.

  7. Poète : Victor Hugo (1802-1885) Recueil : Les orientales (1829). La lune était sereine et jouait sur les flots. La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots. De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare.

  1. Recherches associées