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  1. La Prière de Sainte Thérèse de Lisieux « Mon Dieu ! Trinité Bienheureuse, je désire Vous aimer et Vous faire aimer ». Plusieurs Prières de Sainte Thérèse de Lisieux à lEnfant-Jésus « Ô petit Enfant-Jésus ! », « Jésus, Tu connais mon nom, et Ton doux regard m'appelle ».

  2. R/ Chaque geste pour Lui, chaque instant avec Lui. et brûler les ombres de la terre, au feu de la prière, dans l'Esprit ! Au Père, le grand abandon, le don. du bien caché, tu l'as fait d'avance, et Lui qui voit dans le secret. a dépassé ton espérance. Tu as demandé d'être un jour l'Amour. au cœur de l'Église, à part entière,

  3. 2 oct. 2023 · A l’audience pon­ti­fi­cale du 20 novembre, Thérèse, age­nouillée devant le Pape Léon XIII, lui dit : « Très Saint Père, en l’honneur de votre jubi­lé, permettez- moi d’entrer au Carmel à quinze ans. – Mon enfant, faites ce que les supé­rieurs décide­ront…. Vous entre­rez si le bon Dieu le veut.

    • Thérèse et Les Prêtres
    • Quelques Axes de La Spiritualité Thérésienne Offerte Aux Prêtres
    • Thérèse, Les Prêtres et La Seconde Évangélisation

    Le 2 septembre 1890, lors de l’examen canonique précédant sa profession, elle a déclaré : « Je suis venue (au carmel) pour sauver les âmes et surtout afin de prier pour les prêtres » (A 69v). Pour en arriver là, elle a déjà vécu toute une évolution. L’idée qu’on se faisait des prêtres dans la famille Martin était très élevée. Inviter un prêtre à dé...

    Un amour du Christ caché

    Benoît XV disait à un religieux de l’ordre de Picpus en 1915 : « C’est la mission de Thérèse d’apprendre aux prêtres à aimer Jésus-Christ». La Sainte aurait pu compléter cette formule en ajoutant : « ... leur apprendre à l’aimer comme je l’aime ». Comment l’a-t-elle aimé ? Dès l’enfance, d’un amour très personnel, fort, concret, très centré sur le mystère de l’Incarnation. Dès le début de son premier manuscrit, elle a cette formule : « ... le propre de l’amour étant de s’abaisser... » (A...

    L’offrande de soi

    Devant cet amour fou de Jésus qui s’abaisse, qui se cache (et qui sera révélé un jour, car l’aspect résurrection-révélation existe chez elle), la réaction de Thérèse est : « lui faire plaisir, contenter Jésus ; lui donner sa vie ». Dès sa première communion, le 8 mai 1884, elle se donne à Jésus qui se donne à elle : « je me donne à lui pour toujours ». Évidemment aussi à sa profession le 8 septembre 1890. Mais elle éprouve le besoin, après la découverte de la voie d’enfance, (qui se situe fin...

    La voie d’enfance spirituelle

    Thérèse nous donne, ce qui est très important pour le sacerdoce, « la voie de la confiance et de l’amour ». Jean-Paul II, le 2 juin 1980, à la basilique de Lisieux, a vraiment posé les questions fondamentales : La vie filiale, c’est donc équivalemment la voie d’enfance spirituelle. Et cette vie filiale est vraiment le cœur de la vie de Jésus. Cette découverte de la voie d’enfance, Thérèse la fait un jour où elle éprouve de grands désirs. Elle souffre de ne pas savoir comment ils vont se réali...

    Devant la « seconde évangélisation », Thérèse n’a aucun « truc » à nous proposer. Pas plus qu’il n’y en avait dans les années 1925-1930 lorsqu’on découvrait la déchristianisation des masses. Son message, expression de sa vie, reste actuel : « Je passerai mon ciel à faire du bien sur la terre ». Les apôtres de la seconde évangélisation n’ont pas d’a...

  4. Plusieurs Prières de Sainte Thérèse de Lisieux à lEnfant-Jésus « Ô petit Enfant-Jésus ! » , « Jésus, Tu connais mon nom, et Ton doux regard m'appelle » La Prière de la « petite Thérèse » de Lisieux « Mon doux Jésus, sur le sein de ta Mère, Tu m'apparais tout rayonnant d'amour »

  5. A voir le retentissement du témoignage posthume de Ste Thérèse de lEnfant Jésus et de la Ste Face, nul doute que la lumière de la grâce ait abondé, entrainant à sa suite (Ms C 34r°) une légion de petites âmes (Ms B 5v°). Sources : Œuvres complètes Ste Thérèse de lEnfant Jésus et de la Ste Face.

  6. 1 oct. 2014 · Une petite voie bien droite. Thérèse trouve sa joie à se laisser porter par son Dieu sur une voie toute droite qui n’est plus « le rude escalier de la perfection ». Sa joie est ce « laisser-faire » en Jésus qui s’abaisse vers elle et la comble de son amour. Son seul mérite est de ne pas en avoir.