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Ilse Koch, née Margarete Ilse Köhler le 22 septembre 1906 à Dresde et morte le 1 er septembre 1967 à Aichach, surnommée « la chienne de Buchenwald » ou « la sorcière de Buchenwald » (Die Hexe von Buchenwald), est l'épouse de Karl Otto Koch, le premier commandant du camp de concentration de Buchenwald.
8 juil. 2022 · Qui était la « sorcière nazie » du camp de Buchenwald ? Ilse Koch fut une des légendes qui ont marqué la période de l’ Holocauste. Elle ne fait pas partie des meneurs de cette révolte sanglante mais elle a commis d’atroces pratiques envers les prisonniers. Elle a fait preuve de sadisme et de barbarie.
Ilse Koch (22 September 1906 – 1 September 1967) was a German war criminal who committed atrocities while her husband Karl-Otto Koch was commandant at Buchenwald. Though Ilse Koch had no official position in the Nazi state, she became one of the most infamous Nazi figures at war's end.
Découvrez la vie et le procès d'Ilse Koch, l'épouse du commandant du camp de Buchenwald, accusée d'avoir utilisé des peaux et des organes de victimes pour ses bagarres. Un podcast en quatre épisodes qui explore les témoignages, les rumeurs et les mythes autour de ce personnage controversé.
24 déc. 2016 · Épouse de Karl Otto Koch, un colonel SS, Ilse était considérée comme l'une des personnes les plus redoutables et méprisantes pendant le nazisme, elle était capable de choses monstrueuses. Voila cette femme et ce qu'elle a fait pour mériter une telle réputation. Advertisement.
Ilse Koch (born September 22, 1906, Dresden, Germany—died September 2, 1967, Aichach, West Germany) was the German wife of a commandant (1937–41) of Buchenwald concentration camp, notorious for her perversion and cruelty. On May 29, 1937, she married Karl Otto Koch, a colonel in the SS who was commander of the Sachsenhausen camp.
5 sept. 2023 · Ilse Koch was the wife of a Nazi commandant of Buchenwald concentration camp and was accused of war crimes and crimes against humanity. She was the only woman among 31 defendants in the US-run trials, and faced sensationalised and gendered media coverage.
