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  1. Adélaïde-Marie-Émilie Filleul, dite Adélaïde, comtesse de Flahault de La Billarderie, puis Adélaïde de Souza, ou encore Madame de Flahault, et Madame de Souza, née le 14 mai 1761 à Paris et morte dans la même ville le 19 avril 1836, est une écrivaine, moraliste et salonnière française.

  2. Correspondance familiale. Dossiers 1 à 12 : Lettres dAdélaïde de Souza à Charles de Flahaut, son fils de 1801 à 1830. Cent soixante-dix-huit lettres, la plupart comportant la date sans l’année. Les années portées postérieurement à l’encre puis au crayon sont parfois incertaines.

  3. Eugénie et Mathilde ou Mémoires de la famille du comte de Revel. Google. 1820 : Mademoiselle de Tournon. 1823 : La Comtesse de Fargy. 1832 : La Duchesse de Guise, ou intérieur d’une famille illustre dans le temps de la Ligue. théâtre.

  4. Adélaïde-Marie-Émilie Filleul, puis Adélaïde, comtesse de Flahaut de la Billarderie, puis Adélaïde de Souza, alors désignée sous le nom Madame de Souza est née le 14 mai 1761 à Paris, où elle est morte le 19 avril 1836. Elle est une femme écrivain et moraliste féministe française.

  5. écrivain. Histoire : Adélaïde Marie Émilie Filleul (1761-1836), dite Adèle, est née à Paris le 14 mai 1761. Elle est la fille de Charles François Filleul, commissaire en vin à Falaise, et d’Irène du Buisson de Longpré. Orpheline de mère à 6 ans, elle est placée au couvent puis vit aux côtés de sa sœur, Julie des Ménars.

  6. Adélaïde Filleul, comtesse de Flahaut, puis comtesse de Souza. Née le 14 mai 1761, fille de François Filleul, fermier général, commissionnaire en vin de la région de Falaise et d’Irène de Longpré, très belle et noble dame, Adélaïde fut orpheline dès son jeune âge. Mais son origine est douteuse, mêlée au mystère du Parc aux ...

  7. Une jeune fille qui sort pour la première fois du couvent, où elle a passé toute son enfance ; un beau lord élégant et sentimental, qui la rencontre dans un léger embarras et lui apparaît d’abord comme un sauveur ; un très-vieux mari, bon, sensible, paternel, jamais ridicule, qui n’épouse la jeune fille que pour l’affranchir d’une mère égoïste...