Yahoo France Recherche Web

Résultats de recherche

  1. La Putain respectueuse (titrée à l'origine La respectueuse) [1] est une pièce de théâtre en un acte et deux tableaux de Jean-Paul Sartre publiée en 1947 et représentée pour la première fois le 8 novembre 1948 au Théâtre Antoine (avec Morts sans sépulture). L'histoire est inspirée de celle des Scottsboro Boys.

  2. La Putain respectueuse est un film français de Charles Brabant et Marcello Pagliero réalisé en 1952. C'est une adaptation de la pièce de théâtre La Putain respectueuse de Jean-Paul Sartre.

  3. « La Putain respectueuse » est une pièce de théâtre écrite par Jean-Paul Sartre en 1946. Cette œuvre, qui se déroule dans l’Amérique des années 1940, aborde des thèmes tels que le racisme, la violence et la manipulation. L’histoire tourne autour de Lizzie, une prostituée noire accusée du meurtre d’un homme blanc. À travers ...

  4. 29 mars 2013 · Seul le témoignage de la prostituée peut innocenter le noir qui se terre dans les ruelles de la ville et vient jusque dans son appartement lui demander grâce. Si elle ne cède pas aux menaces ostentatoires du fils, elle finira par consentir aux arguments plus insidieux du père, le sénateur.

    • (78)
  5. Résumé. Dans une petite ville du sud des États-Unis, deux hommes noirs sont à tort accusés de viol. L’un est tué par Thomas, un citoyen américain blanc, l’autre s’enfuit et tente une première fois de se réfugier chez Lizzie, une prostituée blanche, dont Fred, le cousin de Thomas, est client.

  6. expositions.bnf.fr › sartre › reperestexte - BnF

    texte. La Putain respectueuse (1946) Pièce en un acte et deux tableaux. Création à Paris, théâtre Antoine, le 8 novembre 1946 (avec Mort sans sépulture). Mise en scène (non signée) de Julien Bertheau et Jean-Paul Sartre, décor d'André Masson construit par Jean Bertin.

  7. 21 nov. 2010 · Résumé : « Qu'est-ce que tu m'as fait ? Tu colles à moi comme mes dents à mes gencives. Je te vois partout, je vois ton ventre, ton sale ventre de chienne, je sens ta chaleur dans mes mains, j'ai ton odeur dans les narines. J'ai couru jusqu'ici, je ne savais pas si c'était pour te tuer ou pour te prendre de force. Maintenant, je sais.