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  1. Marque l'intérêt que prend quelqu'un qui donne un ordre à l'accomplissement de cet ordre : Regarde-moi comment il est habillé. 3. Peut être renforcé par même, auquel il est lié par un trait d'union : Je m'étonne moi-même.

  2. Le « Moi » ou le « moi » (sans majuscule) est la traduction d'usage adoptée en France pour das Ich [Notes 1] chez Freud qui forme pour cette instance de la seconde topique un substantif du genre neutre à partir du pronom personnel de la première personne du singulier ich (« je »).

  3. Pronom personnel de la première personne du singulier et des deux genres ( aussi me) représentant la personne qui parle ou qui écrit. je ; familier bibi, ma pomme. (complément d'objet après un impératif) Regarde-moi (mais : ne me* regarde pas). (après un autre pronom personnel) Donnez-la-moi.

  4. Dans cette phrase, moi que vous aimez, je vous le rends, moi que vous aimez revient à ceci, moi vous aimez. Le premier moi est au nominatif, et marque la première personne; et le second est à l'accusatif, et est regardé comme étant un être dont on parle, par conséquent à la troisième personne.

  5. 4 avr. 2024 · Intérêt exclusif porté à sa propre personne au détriment des autres. Vous ne trouverez pas non plus cette douce égalité de sentiments, […], en épousant […] un homme qui ne pense qu’à lui, dont le moi est la note unique. — Honoré de Balzac, Modeste Mignon.

  6. I. Pronom personnel de la première personne du singulier, aux deux genres. L’emploi respectif de moi et des formes atones je et me est commandé par la fonction et la position du pronom, et par la modalité de la phrase. 1. Employé en fonction de sujet, au lieu de je. – Quand il y a ellipse du verbe.

  7. Moi, se prend quelquefois substantivement, pour signifier l’attachement de quelqu’un à ce qui lui est personnel. Le moi choque toujours l’amour-propre des autres. Il se prend aussi en philosophie pour l’individualité métaphysique de la même personne.

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