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Quand Gérard Philipe interprète le rôle du Cid à Avignon, en juillet 1951, en dépit d'une chute qui l'a fragilisé, il emporte unanimement le public et la critique. Du Cid, il a tout, la jeunesse, la silhouette, les émotions... et la voix aux accents inimitables.
30 mai 2024 · Ces legs ont permis de réaliser l’exposition Maria Casarès Gérard Philipe, Infiniment. Une évocation (du 4 juin 2022 au 30 avril 2023) qui fait revivre à la Maison Jean Vilar, cent ans après leur naissance, la mémoire de Gérard Philipe (4 décembre 1922-25 novembre 1959) et de Maria Casarès (21 novembre 1922-22 novembre 1996).
Gérard Philipe, l'éternelle jeunesse : 22 films à partir du 20 février 1991 [Biographie] / présentés par les Editions Atlas, les Acacias-Cinéaudience. Périodiques. Avant-Scène Cinéma (L'), n° 370, avril 1988. Cinéma Français, n° 33, 1980. Cinéma, n° 46, mai 1960. Cinéma, n° 8, décembre 1955. Cinémonde, n° 1450, 22 mai 1962.
Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis59 boulevard Jules Guesde 93200 Saint-Denis RER D Station Saint-Denis puis 5 min. à pied (dos à la gare, suivre les rails du tramway) De Gare de Lyon à Saint-Denis : un trajet de 15 minutesDe Châtelet à Saint-Denis : un trajet de 11 minutesDe Gare du Nord […]
Gérard Philipe fut l’acteur-culte des années cinquante. À Paris, à Moscou, à Pékin ou dans un Japon encore sous le choc des bombes d’Hiroshima et de Nagasaki, il soulevait la même ferveur. Seuls le critiquèrent avec acerbité les futurs réalisateurs de la Nouvelle Vague, qui peu après s’enthousiasmèrent pour un jeune acteur ...
Gérard Philipe, symbole de toute une génération, disparu tragiquement en pleine gloire, à 37 ans, a marqué le théâtre et le cinéma des années 1950. Julia Gros de Gasquet, comédienne et maîtresse de conférences à l’Institut d’Études Théâtrales de la Sorbonne Nouvelle, ravive le souvenir théâtral de cet immense comédien français à travers les enregistrements des pièces ...
Gérard Philipe, star des années 50. Si Une si jolie petite plage (Allégret, 1949) est une déception au box-office malgré des qualités indéniables, Gérard Philipe retrouve le succès avec La beauté du diable (Clair, 1950) qui fédère 2,5 millions de diablotins.
