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Alfred de Vigny. I. J’aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.
Le Cor est l’un des plus célèbres poèmes d'Alfred de Vigny, publié en 1826 dans le recueil Poèmes antiques et modernes [1].
- Alfred de Vigny
- français
- 1826
- Poèmes antiques et modernes
Le Cor est un poème de Alfred de Vigny qui évoque le son du cor des bergers dans les montagnes, et qui fait résonner les souvenirs de la chanson de Roland. Le poème mêle la nature, la légende, l'histoire et l'émotion dans un style lyrique et romantique.
Une ballade inspirée de la mort de Roland, héros des Pyrénées, et de la Chronique de Charlemagne. Le poème mêle le son du cor, les paysages, les personnages et les événements historiques.
A, Conte. I. J’aime le son du Cor, le soir, au fond des bois [ 1 ]. Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois. Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille. Que de fois, seul, dans l’ombre à minuit demeuré, J’ai souri de l’entendre, et plus souvent pleuré !
« Sire, on voit dans le ciel des nuages de feu ; Suspendez votre marche ; il ne faut tenter Dieu. Par monsieur saint Denis, certes ce sont des âmes Qui passent dans les airs sur ces vapeurs de flammes. Deux éclairs ont relui, puis deux autres encor. » Ici l’on entendit le son lointain du Cor. — L’Empereur étonné, se jetant en arrière,
12 juil. 2017 · par Alfred de Vigny. I. J'aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille. Que de fois, seul, dans l'ombre à minuit demeuré,