Résultats de recherche
Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon coeur D’une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure. Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine, Poèmes saturniens
Chanson d'automne est l'un des plus célèbres poèmes de Paul Verlaine. Il est paru dans le livre Poèmes saturniens en 1866. Texte. Les sanglots longs. Des violons. De l’automne. Blessent mon cœur. D’une langueur. Monotone. Tout suffocant. Et blême, quand. Sonne l’heure, Je me souviens. Des jours anciens. Et je pleure. Et je m’en vais.
- Paul Verlaine
- Poèmes saturniens
- 1866
- Chanson d’automne
Poème : La chanson d'automne. Recueil : Les poèmes saturniens (1866) Les sanglots longs. Des violons. De l'automne. Blessent mon coeur. D'une langueur. Monotone. Tout suffocant.
12 juin 2023 · La saison, personnifiée, reflète l’état d’âme du poète. Verlaine évoque ainsi au vers 1 les « sanglots » et au vers 3, « l’automne », comme pour repousser la mention précise de cette saison. La personnification n’en est que plus saisissante.
7 juin 2019 · Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens
Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon coeur D’une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure; Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.