Yahoo France Recherche Web

  1. Livres d'occasion. Économisez -70% du prix neuf. Choix immense. Sautez sur l'occasion ! Retrouvez un très large choix de Livres, CD, DVD, Jeux Vidéos, Vinyles d'occasion en ligne

    Livres - Dès 1,50 € - Voir d'autres articles
  2. Commandez sur Amazon. Vaste choix et prix attractifs. Des milliers de produits: lisez les avis des clients et trouvez les meilleurs vendeurs.

Résultats de recherche

  1. Une sélection de poèmes écrits par Arthur Rimbaud, célèbre poète symboliste français, né en 1854 à Charleville et mort en 1891 à Marseille.

    • Aube

      Aube. Arthur Rimbaud. J’ai embrassé l’aube d’été. Rien ne...

    • Le Dormeur Du Val - Arthur Rimbaud
    • Le Bateau Ivre - Arthur Rimbaud
    • MA Bohème - Arthur Rimbaud
    • Voyelles - Arthur Rimbaud
    • Chanson de La Plus Haute Tour - Arthur Rimbaud
    • Sensation - Arthur Rimbaud
    • Ophélie - Arthur Rimbaud
    • Les Chercheuses de Poux - Arthur Rimbaud
    • Ô Saisons, Ô Châteaux - Arthur Rimbaud
    • Alchimie Du Verbe - Arthur Rimbaud
    • GeneratedCaptionsTabForHeroSec

    C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert...

    Le bateau ivre est un poème célèbre écrit par Arthur Rimbaud en 1871. Il est alors âgé de 16 ans et rejoint Paul Verlaine à Paris. Dans cette œuvre de 25 quatrains en alexandrins, le bateau à la dérive est une métaphore du poète exalté puis désenchanté, de son désir de liberté et de son voyage poétique. Comme je descendais des Fleuves impassibles, ...

    Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. – Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. – Mes étoiles au cie...

    A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres b...

    Oisive jeunesse À tout asservie, Par délicatesse J'ai perdu ma vie. Ah! que le temps vienne Où les cœurs s'éprennent. Je me suis dit : laisse, Et qu'on ne te voie : Et sans la promesse De plus hautes joies. Que rien ne t'arrête Auguste retraite. J'ai tant fait patience Qu'à jamais j'oublie ; Craintes et souffrances Aux cieux sont parties. Et la soi...

    Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, – heureux comme a...

    I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir. Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa ro...

    Quand le front de l'enfant, plein de rouges tourmentes, Implore l'essaim blanc des rêves indistincts, Il vient près de son lit deux grandes sœurs charmantes Avec de frêles doigts aux ongles argentins. Elles assoient l'enfant auprès d'une croisée Grande ouverte où l'air bleu baigne un fouillis de fleurs, Et dans ses lourds cheveux où tombe la rosée ...

    Ô saisons ô châteaux, Quelle âme est sans défauts ? Ô saisons, ô châteaux, J'ai fait la magique étude Du Bonheur, que nul n'élude. Ô vive lui, chaque fois Que chante son coq gaulois. Mais ! je n'aurai plus d'envie, Il s'est chargé de ma vie. Ce Charme ! il prit âme et corps. Et dispersa tous efforts. Que comprendre à ma parole ? Il fait qu'elle fui...

    À moi. L'histoire d'une de mes folies. Depuis longtemps je me vantais de posséder tous les paysages possibles, et trouvais dérisoires les célébrités de la peinture et de la poésie moderne. J'aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; la littérature démodée, latin d'église, li...

    Découvrez les poèmes les plus célèbres et les plus beaux d'Arthur Rimbaud, le génie précoce du symbolisme. Lisez Le Dormeur du Val, Le Bateau ivre, Voyelles et d'autres chefs-d'œuvre de la poésie française.

  2. Trouvez tous les poèmes d'Arthur Rimbaud, poète symboliste français du XIXe siècle, classés par ordre alphabétique ou par thème. Découvrez aussi ses recueils, sa biographie et son abonnement à Poésie Postale.

  3. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la nature, heureux comme avec une femme. — Arthur Rimbaud, Poésies. Le site des Éternels Éclairs vous propose de lire quelques-un des plus beaux poèmes d'Arthur Rimbaud.

  4. Des poèmes comme Le Bateau ivre, Le Dormeur du val ou Voyelles comptent parmi les plus célèbres de la poésie française. La précocité de son génie, sa carrière littéraire fulgurante, sa vie brève et aventureuse contribuent à forger sa légende et faire de lui l'un des géants de la littérature mondiale. Biographie. Famille et enfance.

    • 20 octobre 1854Charleville (Ardennes), France
    • Jean Nicolas Arthur Rimbaud
  5. Il décrit Rimbaud poète avant-gardiste confronté aux courants plus classiques de la poésie. Je les vois tous les deux dans ce poème, lun bateau frêle incertain lâché dans l’immensité des oceans, les autres transporteurs lourds et à but commercial (transportant cotons et blés).

  6. Aube. Arthur Rimbaud. J’ai embrassé l’aube d’été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route. du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes. se levèrent sans bruit.

  1. Recherches associées