Yahoo France Recherche Web

Résultats de recherche

  1. Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant. Film 2h04min 1989 ⭐ 4.2/5. Albert et ses hommes, de sinistres malfrats, sont les habitués du « Hollandais », un restaurant huppé tenu par Richard, un cuisinier français. Un soir, Georgina, l'épouse de l'odieux gangster, remarque un client solitaire et taciturne qui mange, le nez plongé ...

  2. Albert Spica, mafioso, est le propriétaire d’un grand restaurant. Il s’y goinfre chaque soir, en compagnie de sa femme qui ne supporte plus sa vulgarité. Mais elle a remarqué un homme distingué qui dîne seul; il devient son amant. Elle le retrouve dans les toilettes ou dans l’arrière-cuisine.

  3. Un couple composé du voleur, truculent, n'ayant aucune limite, violent à la limite du sadisme, amoral et de sa femme, à la fois soumise mais aussi faisant preuve d'audace pour s'opposer à son mari et ses pulsions débridées. Un Chef cuisinier français à l'accent parfaitement assumé du frenchie parlant anglais, à la tête du restaurant.

  4. 2 nov. 1989 · PETER GREENAWAY, dès le premier plan du Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant, annonce la couleur : rouge. Son film sera rouge comme le sang, l'intérieur du corps, le feu, l'enfer. Rouge ...

  5. Synopsis. Un voleur rapace fréquente régulièrement un restaurant en compagnie de sa femme dans le but d'améliorer sa respectabilité. Au lieu d'y trouver des gratifications sociales, il y fait connaissance avec l'érotisme de son épouse et sa propre humiliation. Dans le parking, les toilettes, les cuis- ines et la salle à manger de ce ...

  6. Le voleur est particulièrement odieux avec elle. Sans broncher elle subit ses diktats mais finit par le tromper avec un client régulier, libraire, aimable, raffiné. Bien plus complexe qu’un simple vaudeville, Le Cuisinier, le Voleur sa Femme et son Amant est basé sur une idée simple, le cannibalisme. Le film exploite la thématique dans ...

  7. 1 janv. 1989 · Le scénario intégral du film Le cuisinier, le voleur, sa femme et son amant, histoire tragique d'une vengeance et critique allégorique du Thatcherisme. On y découvre un Greenaway grand bâtisseur de splendeurs cinématographiques, mais également un authentique écrivain, chercheur d'images et de métaphores littéraires.