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Anne Marie Louise d’Orléans, duchesse de Montpensier, dite la Grande Mademoiselle, née le 29 mai 1627 au palais du Louvre et morte le 5 avril 1693 au palais du Luxembourg, est une des principales personnalités de la haute noblesse de cour du Grand siècle.
Louise-Élisabeth d’Orléans, dite Mademoiselle de Montpensier, née le 11 décembre 1709 à Versailles ( paroisse Notre-Dame) et morte le 16 juin 1742 à Paris ( paroisse Saint-Sulpice ), est reine consort d'Espagne en 1724. Elle est l'une des nombreuses filles du Régent, Philippe d'Orléans et de Françoise-Marie de Bourbon, fille légitimée de Louis XIV.
- 16 juin 1742 (à 32 ans)Paris ( France)
- 11 décembre 1709Versailles ( France)
- Maison d’Orléans
- Église Saint-Sulpice de Paris
Membre de la seconde maison de Bourbon-Montpensier, Marie est une éphémère « Madame », duchesse d’Orléans par son mariage avec « Monsieur » Gaston de France, frère du roi, en 1626. Elle est aussi la mère de la « Grande Mademoiselle », la plus riche héritière d'Europe.
Anne Marie Louise d'Orléans, Duchess of Montpensier, ( French pronunciation: [an maʁi lwiz dɔʁleɑ̃], 29 May 1627 – 5 April 1693) known as La Grande Mademoiselle, was the only daughter of Gaston d'Orléans with his first wife, Marie de Bourbon, Duchess of Montpensier.
Mademoiselle de Montpensier tenant le portrait de son père. Auteur : BOURGUIGNON Pierre. Lieu de conservation : musée national du château de Versailles (Versailles) site web. Date de création : vers 1672. H. : 175 cm. L. : 148 cm. huile sur toile. Domaine : Peintures. © RMN - Grand Palais (château de Versailles) / Gérard Blot / Christian Jean.
dite la Grande Mademoiselle. Princesse française (Paris 1627-Paris 1693). Fille de Gaston d'Orléans et de Marie de Bourbon, duchesse de Montpensier, elle se lança dans la Fronde : le 1 er juillet 1652, elle fit tirer les canons de la Bastille sur les troupes royales et ouvrir à Condé les portes de Paris.
Les Mémoires de Mademoiselle de Montpensier, inclues dans ce large ensemble, s’inscrivent dans la mode littéraire du début du règne de Louis XIV, associé à une « conscience princière intraitable, un esprit d’enfance romanesque qui refuse de s’assagir et à une liberté de temps qui ne cède à aucune grandeur […] une conscience princière qui découvr...
