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Deux mulets chargés d'argent et d'orge se font attaquer par des voleurs. L'un se console de ne pas avoir perdu son fardeau, l'autre regrette de servir le fisc.
Une fable qui met en garde contre l'orgueil et la vanité. Deux mulets transportent des marchandises, mais l'un est attaqué par des bandits car il porte l'argent du fisc.
Les Deux Mulets. Deux Mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour beaucoup en être soulagé.
Les Deux Mulets est la quatrième fable du Livre I des Fables de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668. L'origine de cette fable est « Les deux mulets et les voleurs » de Phèdre [1], [2].
Titre : Les deux mulets. Poète : Jean de La Fontaine (1621-1695) Recueil : Les fables du livre I (1668). Deux Mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour beaucoup en être soulagé. Il marchait d'un pas relevé,
13 avr. 2017 · Un mulet chargé d'avoine et un mulet portant l'argent de la gabelle se croisent sur le chemin et se lancent à l'affrontement. Le poème illustre le proverbe "il n'est pas toujours bon d'avoir un haut emploi".
Deux Mulets transportent des marchandises différentes : l'un de l'avoine, l'autre de l'argent du fisc. L'un se fait attaquer par l'ennemi, l'autre se sauve, et il regrette de servir un emploi dangereux.
