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  1. Une sélection de poèmes écrits par Gérard de Nerval, écrivain et poète romantique français né en 1808 à Paris où il meurt en 1855.

    • Artémis

      Sainte Napolitaine aux mains pleines de feux, Rose au coeur...

    • Dans les bois

      c’est une belle poème.Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard...

    • Chanson gothique

      Chanson gothique, un poème de Gérard de Nerval. Belle...

    • A Béranger

      Gérard de Nerval, Odes et poèmes. Imprimer ce poème....

    • Fantaisie

      Un poème de Gérard de Nerval intitulé 'Fantaisie'. Ce poème...

    • Une Allée Du Luxembourg - Gérard de Nerval
    • Fantaisie - Gérard de Nerval
    • El Desdichado - Gérard de Nerval
    • La Cousine - Gérard de Nerval
    • Le Point Noir - Gérard de Nerval
    • Le Relais - Gérard de Nerval
    • Mélodie - Gérard de Nerval
    • Myrtho - Gérard de Nerval
    • Horus - Gérard de Nerval
    • Antéros - Gérard de Nerval
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    Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau À la main une fleur qui brille, À la bouche un refrain nouveau. C'est peut-être la seule au monde Dont le cœur au mien répondrait, Qui venant dans ma nuit profonde D'un seul regard l'éclaircirait ! Mais non, – ma jeunesse est finie… Adieu, doux rayon qui m'as lui, – Parfum, jeune fille, ha...

    Fantaisie est un poème (quatre quatrains en décasyllabes) célèbre de Gérard de Nerval issu du recueil Odelettes. Le titre fait référence à la fois à la puissance de l'imaginaire mais aussi à une forme musicale libre. La musique nourrit l'imaginaire du poète et le reconnecte à un passé lointain. Il est un air pour qui je donnerais Tout Rossini, tout...

    Je suis le Ténébreux, – le Veuf, – l'Inconsolé, Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie : Ma seule Etoile est morte, – et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m'as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé, Et la treille où le Pampre à la Ro...

    L'hiver a ses plaisirs ; et souvent, le dimanche, Quand un peu de soleil jaunit la terre blanche, Avec une cousine on sort se promener… – Et ne vous faites pas attendre pour dîner, Dit la mère. Et quand on a bien, aux Tuileries, Vu sous les arbres noirs les toilettes fleuries, La jeune fille a froid… et vous fait observer Que le brouillard du soir ...

    Quiconque a regardé le soleil fixement Croit voir devant ses yeux voler obstinément Autour de lui, dans l’air, une tache livide. Ainsi tout jeune encore et plus audacieux, Sur la gloire un instant j’osai fixer les yeux : Un point noir est resté dans mon regard avide. Depuis, mêlée à tout comme un signe de deuil, Partout, sur quelque endroit que s’a...

    En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’œil fatigué de voir et le corps engourdi. Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Une vallée humide et de lilas couverte, Un ruisseau qui murmure entre les peupliers, – Et la route et le bruit sont bie...

    Quand le plaisir brille en tes yeux Pleins de douceur et d'espérance, Quand le charme de l'existence Embellit tes traits gracieux, − Bien souvent alors je soupire En songeant que l'amer chagrin, Aujourd'hui loin de toi, peut t'atteindre demain, Et de ta bouche aimable effacer le sourire ; Car le Temps, tu le sais, entraîne sur ses pas Les illusions...

    Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, À ton front inondé des clartés de l'Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l'or de ta tresse. C'est dans ta coupe aussi que j'avais bu l'ivresse, Et dans l'éclair furtif de ton œil souriant, Quand aux pieds d'lacchus on me voyait priant, Car la Muse m'a fait l...

    Le dieu Kneph en tremblant ébranlait l'univers : Isis, la mère, alors se leva sur sa couche, Fit un geste de haine à son époux farouche, Et l'ardeur d'autrefois brilla dans ses yeux verts. « Le voyez-vous, dit-elle, il meurt, ce vieux pervers, Tous les frimas du monde ont passé par sa bouche, Attachez son pied tors, éteignez son œil louche, C'est l...

    Tu demandes pourquoi j'ai tant de rage au cœur Et sur un col flexible une tête indomptée ; C'est que je suis issu de la race d'Antée, Je retourne les dards contre le dieu vainqueur. Oui, je suis de ceux-là qu'inspire le Vengeur, Il m'a marqué le front de sa lèvre irritée, Sous la pâleur d'Abel, hélas ! ensanglantée, J'ai parfois de Caïn l'implacabl...

    Découvrez les poèmes les plus célèbres et les plus beaux de Gérard de Nerval, poète et écrivain français du 19e siècle. Lisez des extraits de ses recueils Odelettes et Chimères, comme Une Allée du Luxembourg, Fantaisie, El Desdichado, etc.

  2. Poète et écrivain français né à Paris le 22 mai 1808, Gérard de Nerval est décédé le 26 janvier 1855 dans sa ville natale. Lire sa biographie sur Wikipédia. 1 - Les 63 poèmes de Gérard de Nerval : — À Béranger. — À Hélène de Mecklembourg.

  3. Le site des Éternels Éclairs vous propose de lire quelques-un des plus beaux poèmes de Gérard de Nerval.

  4. Perçant vos coeurs d’une aiguille, Vous contemple, l’oeil surpris : Et vos pattes sont coupées. Par l’ongle blanc qui les mord, Et vos antennes crispées. Dans les douleurs de la mort !…. Gérard de Nerval, Odelettes. Imprimer ce poème. Gérard de Nerval, Animaux, Eté.

  5. Figure majeure du romantisme français, il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus célèbre étant Sylvie) et de sonnets (Les Chimères) publié en 1854.

  6. Poème Les papillons - Gérard de Nerval. Poésie : Les papillons. Titre : Les papillons. Poète : Gérard de Nerval (1808-1855) Recueil : Odelettes (1853). I. De toutes les belles choses. Qui nous manquent en hiver, Qu'aimez-vous mieux ? — Moi, les roses ; — Moi, l'aspect d'un beau pré vert ; — Moi, la moisson blondissante, Chevelure des sillons ;