amazon.fr a été visité par plus de 1 million utilisateurs le mois dernier
Petits prix sur vos produits. Livraison gratuite (voir cond.). Bonnes affaires sur les articles similaires sur Amazon.
Résultats de recherche
Ali Baba et les Quarante Voleurs ( arabe : علي بابا واللُّصوص الأَرْبَعِين) (titre complet : Histoire d’Ali Baba, et de quarante voleurs exterminés par une esclave) est un récit que l'on présente souvent comme faisant partie des contes Mille et Une Nuits traduits par Antoine Galland en 1701, bien qu'il n'ait jamais été présent dans les manuscrit...
Un jour Ali-Baba achevait de couper sa charge de bois lorsqu’il distingua une troupe de cavaliers qui s’avançaient dans sa direction. Craignant d’avoir affaire à des voleurs, il abandonna ses ânes et monta sur un gros arbre touffu. Les cavaliers mirent pied à terre, ils étaient quarante.
Ali Baba est une figure emblématique des contes populaires arabes et persans, célèbre pour son rôle de héros dans Ali Baba et les Quarante voleurs. Ce conte raconte comment il a réussi à découvrir la cachette de voleurs en prononçant les mots magiques “Sésame, ouvre-toi“.
L'histoire finit bien pour tous, à l'exception de Cassim et des quarante voleurs. Ali Baba est donc un homme courageux et généreux : il n'hésitera pas à donner de l'argent à son frère et à essayer de le sauver alors que celui-ci lui fait du chantage pour s'emparer entièrement du trésor des voleurs.
Lisez le conte populaire de Galland sur Ali Baba, un marchand qui découvre le secret des quarante voleurs et leur caverne magique. Découvrez comment Morgiane, la servante d'Ali Baba, tue le faux Cogia Houssain et sauve sa famille.
Les cavaliers, grands, puissans, tous bien montés et bien armés, arrivèrent près du rocher, où ils mirent pied à terre ; et Ali Baba, qui en compta quarante, à leur mine et a leur équipement, ne douta pas qu’ils ne fussent des voleurs.
Le conte persan Ali Baba et les quarante voleurs exterminés par une esclave ne fait pas partie des Contes des Mille et une Nuits. Il est célèbre par les références fréquentes à la “caverne” et au magique “Sésame, ouvre-toi !” Ici présenté dans la version d’Albert Robida.
