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  1. Mikhaïl Petrovitch Pogodine (en russe : Михаи́л Петро́вич Пого́дин), né le 11 novembre 1800 (23 novembre dans le calendrier grégorien) à Moscou et mort à Moscou le 8 décembre 1875 (20 décembre dans le calendrier grégorien), est un historien, écrivain et journaliste russe qui fut aussi un grand ...

  2. Mikhail Petrovich Pogodin ( Russian: Михаи́л Петро́вич Пого́дин; 23 November [ O.S. 11 November] 1800 – 20 December [ O.S. 8 December] 1875) was a Russian historian and journalist who, jointly with Nikolay Ustryalov, dominated the national historiography between the death of Nikolay Karamzin in 1826 and the ...

  3. Mikhail Petrovitch Pogodine. Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire mondial des littératures ». Écrivain russe (Moscou 1800 – id. 1875). D'origine modeste, il fit ses études à l'Université de Moscou et publia un récit – le Mendiant (1825) – qui lui valut d'être inquiété par la police.

  4. Mikhaïl Petrovitch Pogodine (en russe : Михаи́л Петро́вич Пого́дин), né le 11 novembre 1800 (23 novembre dans le calendrier grégorien) à Moscou et mort à Moscou le 8 décembre 1875 (20 décembre dans le calendrier grégorien), est un historien, écrivain et journaliste russe qui fut aussi un grand collectionneur et ...

  5. franco.wiki › fr › Mikhaïl_PogodineMikhaïl Pogodine

    Mikhaïl Petrovitch Pogodine (en russe: Михаи́л Петро́вич Пого́дин), né le 11 novembre 1800 (23 novembre 1800 dans le calendrier grégorien) à Moscou et mort à Moscou le 8 décembre 1875 (20 décembre 1875 dans le calendrier grégorien), est un historien, écrivain et journaliste russe qui fut aussi un grand ...

  6. Dans les années 1820, l’héritage byzantin prit une importance particulière : Mikhaïl Karamzine révéla l’importance de la filiation byzantine dans sa monumentale Histoire de l’État russe. Pour Mikhaïl Pogodine, c’était la portée même de cette filiation qui était déterminante. Théorisant un « développement historique ...

  7. En 1839, Mikhaïl Pogodine, professeur d'histoire russe à l'Université de Moscou, a eu en Belgique une impression tout à fait contraire à celle-là. Slavophile eminent, il était un ardent champion de l'originalité nationale de la Russie et de sa culture. Cela le rendait particulièrement sensible aux problèmes linguistiques dans tous les ...