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  1. Le pape Pie VII est le 251 e pape de l’Église catholique. Barnaba Chiaramonti (en religion, le Père Gregorio) est né le 14 août 1742 à Cesena et est mort le 20 août 1823 à Rome. Moine bénédictin, il est d'abord prieur de la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs, une des quatre basiliques majeures du monde, toutes situées à ...

  2. Pie VII fut le premier pape véritablement populaire de lHistoire. En rupture avec les siècles précédents, sa popularité a pris un caractère quasi-sacré, beaucoup de fidèles voyant dans le pape martyr « une relique vivante ». Ce sentiment s'est perpétué dans une bonne mesure jusqu'à nos jours.

  3. Prisonnier de Napoléon, dépossédé de ses États, Pie VII répond à la force par la grève de linstitution canonique des évêques nommés par l’Empereur. Il excommunie les « usurpateurs, fauteurs, conseillants, exécutants » de la violation de la souveraineté temporelle du Saint-Siège.

    • Alain GALOIN
  4. www.vatican.va › content › pius-viiPie VII - Vatican

    4 mai 2016 · Pie VII. 251e Pape de l'Église catholique. Début du pontificat. 14,21.III.1800. Fin du pontificat. 20.VIII.1823. Nom de naissance. Barnaba (Gregorio) Chiaramonti. Naissance.

    • 14,21.III.1800
    • Cesena (Italie)
    • 20.VIII.1823
    • Barnaba (Gregorio) Chiaramonti
  5. www.napoleon-empire.net › personnages › pie_VIIPie VII - Biographie - Pape

    Après la chute de l'Empire, Pie VII fait preuve de mansuétude et de grandeur d'âme. Sous sa protection, une grande partie des membres de la famille Bonaparte ‒ à commencer par Laetitia, Madame mère ‒ trouve refuge à Rome.

  6. 23 mai 2024 · Dans la galerie des papes, Pie VII, qui règne de 1800 à 1823, est surtout resté célèbre pour ses bras de fer à répétition avec l’empereur. À l’occasion de la sortie de sa biographie du souverain pontife, Xavier Maréchaux évoque pour Historia cette grande personnalité, bien plus forte et résolue qu’on ne le dit parfois.

  7. Pie VII. [Cesena 1742-Rome 1823], pape de 1800 à 1823. Élu à Venise, le 14 mars 1800, pour remplacer Pie VI, il rentra à Rome, où il amorça avec Bonaparte les pourparlers qui aboutirent, le 15 juillet 1801, à un concordat avec la République française.