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  1. Henri Arnold Seyrig, né le 10 novembre 1895 à Héricourt ( Haute-Saône) et mort le 21 janvier 1973 à Neuchâtel ( Suisse ), est un archéologue français.

  2. Seyrig reprenait une grande tradition inaugurée au siècle précédent par d'éminents savants tels qu'E. Renan et Melchior de Vogué. Expression d'une personnalité hors du commun, l'œuvre scientifique d'H. Seyrig a conservé sa valeur.

    • Ernest Will
    • 1993
  3. Henri Seyrig et les institutions de recherche françaises : du Service des Antiquités de Syrie au Centre de Recherches archéologiques de Valbonne - Persée. Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres Année 2013 pp. 1351-1366. Référence bibliographique. Plan. Introduction [link] La deuxième Guerre mondiale [link]

    • Jean-Marie Dentzer
    • 2013
  4. Les précédentes communications ont fait ressortir le rôle capital qu’a joué l’École française d’Athènes au début de la carrière scientifique d’Henri Seyrig. Avant d’y entrer en 1922, c’est un homme jeune qui cherchait encore sa voie, qui a fait une guerre courageuse comme lieutenant d’artillerie, qui rencontre la Grèce ...

    • Olivier Picard
    • 2016
  5. Henri Arnold Seyrig (French: [sɛʁiɡ]; 10 November 1895 – 21 January 1973) was a French archaeologist, numismatist, and historian. He was the general director of antiquities of Syria and Lebanon since 1929, and director, for more than twenty years, of the Institute of Archaeology of Beirut.

  6. en.wikipedia.org › wiki › Henri_SeyrigHenri Seyrig - Wikipedia

    Henri Arnold Seyrig (French:; 10 November 1895 – 21 January 1973) was a French archaeologist, numismatist, and historian. He was the general director of antiquities of Syria and Lebanon since 1929, and director, for more than twenty years, of the Institute of Archaeology of Beirut.

  7. www.wikiwand.com › fr › Henri_SeyrigHenri Seyrig - Wikiwand

    Membre de l' Académie des inscriptions et belles-lettres, il est surtout connu pour avoir occupé le poste de directeur général des Antiquités de Syrie et du Liban sous le mandat français, puis pour avoir créé l' Institut français d'archéologie du Proche-Orient qu'il dirigea jusqu'en 1967.