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  1. 7 mars 2018 · Mieux vaut faire simple et honnête que compliqué et foireux. La nuit a dévoré le monde a pris le meilleur chemin vers la réussite. Le réalisateur ne cherche jamais à épater la galerie en ayant les yeux plus gros que le ventre, et c’est très probablement ce qui fait la noblesse de son effort. Forcément, on voit ses inspirations qui ...

  2. Le jeune cinéaste impose sa vision du fantastique avec style, ruse et personnalité. Film de zombies intimiste, La nuit a dévoré le monde s’appuie grandement sur la prestation du norvégien Anders Danielsen Lie, révélé dans le superbe Oslo, 31 août de Joachim Trier.

  3. 7 mars 2018 · Sous le pavé : le néant. Critique : Beaucoup de direct-to-streaming flicks nourrissent les plateformes d’un scénario apocalyptique vide de sens et de contenu. Ils sont espagnols, américains et même, désormais, français. Sauf que La nuit a dévoré le monde (Gérardmer 2018) a eu la prétention de sortir en salle. Premier film de ...

  4. La Nuit a dévoré le monde est tiré du roman de Pit Agarmen, pseudonyme et anagramme de l’écrivain Martin Page, sous lequel il s’autorise une veine plus « pulp »… 1er long métrage de Dominique Rocher, LA NUIT A DEVORE LE MONDE est distribué par Haut et court

  5. Grosse panne d'inspiration pour écrire un petit retour sur La nuit a dévoré le monde, que j'ai pourtant terminé depuis deux jours. Tout doit aller par deux, puisque c'est le temps que j'ai mis à lire ces 120 pages. Ce livre représente à la fois tout ce que j'adore et tout ce que je déteste dans un roman. Voilà pourquoi il est si ...

  6. 7 mars 2018 · La nuit a dévoré le monde, un film de Dominique Rocher avec Anders Danielsen LieAnders Danielsen Lie, Golshifteh Farahani et . Synopsis : En se réveillant ce matin dans cet appartement où la veille encore la fête battait son plein Sam doit se rendre à l’évidence : il est tout seul et des morts vivants ont…

  7. 9 mars 2018 · Hybride, La nuit a dévoré le monde l’est dès lors à plus d’un titre tout en échappant paradoxalement à entrer dans cette catégorie. En traitant à quasi-égalité les morts vivants et la solitude du personnage, le cinéaste parait durant un moment ne pas choisir entre pure oeuvre d’exploitation et drame introspectif poliment ennuyant.