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Wikisource propose plusieurs éditions des Fleurs du mal de Charles Baudelaire. Les Fleurs du mal. 1855 : Les Fleurs du mal, Revue des Deux Mondes. 1857 : Les Fleurs du mal/1857, épreuves. 1857 : Les Fleurs du mal, 1 re éd. 1861 : Les Fleurs du mal, 2 e éd. 1866 : Les Épaves. 1866 : Nouvelles Fleurs du mal, Le Parnasse contemporain.
- Les Fleurs du mal/1857
Les Fleurs du mal/1857. On dit qu’il faut couler les...
- Concordance
Les Limbes, Le Messager de l’Assemblée, 9 avril 1851...
- Éditions
1 Les Fleurs du mal. Afficher / masquer la sous-section Les...
- Les Fleurs du mal (1868)/Texte entier
Les Fleurs du mal sont le plus beau fleuron de la couronne...
- Les Fleurs du mal (1861)/Texte entier
C’est un phare allumé sur mille citadelles, Un appel de...
- Les Fleurs du mal/1868
PARIS. MICHEL LÉVY FRÈRES, LIBRAIRES ÉDITEURS. RUE VIVIENNE,...
- Les Fleurs du mal (1861)/Le Voyage
Astrologues noyés dans les yeux d’une femme, La Circé...
- Les Fleurs du mal/1857
Les Fleurs du mal sont le plus beau fleuron de la couronne poétique de Baudelaire. Là, il a donné sa note originale et montré qu’on pouvait, après ce nombre incalculable de volumes de vers, où toutes les variétés de sujets semblaient épuisées, mettre en lumière quelque chose de neuf et d’inattendu, sans avoir pour cela besoin de ...
Les Fleurs du mal , Poulet-Malassis et de Broise , 1861. Texte sur une seule page. LES. FLEURS DU MAL. PAR. CHARLES BAUDELAIRE. SECONDE ÉDITION. AUGMENTÉE DE TRENTE-CINQ POËMES NOUVEAUX. ET ORNÉE D’UN PORTRAIT DE L’AUTEUR.
C’est un phare allumé sur mille citadelles, Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois ! Car c’est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage. Que nous puissions donner de notre dignité. Que cet ardent sanglot qui roule d’âge en âge.
PARIS. MICHEL LÉVY FRÈRES, LIBRAIRES ÉDITEURS. RUE VIVIENNE, 2 BIS, ET BOULEVARD DES ITALIENS, 15. À LA LIBRAIRIE NOUVELLE. —. 1868. AU POËTE IMPECCABLE. AU PARFAIT MAGICIEN ÈS LETTRES FRANÇAISES. À MON TRÈS-CHER ET TRÈS-VÉNÉRÉ.
Les Fleurs du mal/1857. On dit qu’il faut couler les execrables choses Dans le puits de l’oubli et au sepulchre encloses, Et que par les escrits le mal resuscité Infectera les mœurs de la postérité ; Mais le vice n’a point pour mère la science, Et la vertu n’est pas fille de l’ignorance.
Astrologues noyés dans les yeux d’une femme, La Circé tyrannique aux dangereux parfums. Pour n’être pas changés en bêtes, ils s’enivrent D’espace et de lumière et de cieux embrasés ; La glace qui les mord, les soleils qui les cuivrent, Effacent lentement la marque des baisers. Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
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