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  1. UNE NOUVELLE LECTURE DES ODES D'HORACE. Traduction inédite et commentaires par Jean-Yves MALEUVRE. I, 4. L’âpre Hiver s’amollit sous la caresse du Zéphyr ; Pour les remettre à l’eau, les treuils tractent les carènes ; Le troupeau n’aime plus l’étable, ni le manant son feu ; Les prés ne brillent plus de givre matinal.

  2. Une nouvelle lecture des Odes d'Horace, par Jean-Yves MALEUVRE, SOMMAIRE ACCUEIL | OPERA OMNIA | ŒUVRES CHOISIES | POSTÉRITÉ LITTÉRAIRE | ÉTUDES | TRADUCTIONS ANCIENNES

  3. Dès leur parution, les Odes ont stupéfié par la variété des mètres utilisés : une vingtaine d’espèces de vers, pas moins, quatre sortes de strophes, six types de distiques. Cela ne s’était jamais vu dans la poésie latine et ne s’est pas revu depuis. Horace aura des émules, jamais d’égaux.

  4. L' Espace Horace de D. Eissart propose un très beau site sur notre poète : varié, original, équipé de nombreuses rubriques et de liens utiles, joliment mis en page (Œuvres complètes, traductions anciennes, postérité littéraire, études, nombreuses images, odes commentées par Jean-Yves Maleuvre, etc.) Horace. 1.

  5. www.babelio.com › livres › Horace-OdesOdes - Horace - Babelio

    9 déc. 2004 · Horace, poète lyrique, dédie ses Odes à Mécène, le ministre d'Auguste, bien connu pour sa générosité somptueuse qui à travers les siècles fit de lui le modèle du protecteur des arts et aujourd'hui encore donne son nom au mécénat.

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  6. Dans l'épode XIII s'affrontent deux camps, "d'un côté Jupiter, Tempestas, Fortuna, Vénus (ici Thétis), Achille, Octave, de l'autre Apollon, les Muses, Chiron, Mécène et Horace. Apparemment le premier camp l'emporte : il bénéficie d'une chance insolente [...]. Il domine sur terre et sur mer, il envahit le ciel même [...]. Et cependant ...

  7. Même si d'aucuns mettront l'enthousiasme contagieux de l'auteur pour Horace sur le compte d'une certaine naïveté, surtout lorsqu'il s'étonne de la «glaçante indifférence» qui accueillit en France le bimillénaire de la mort du poète, il aura bien démontré que l'œuvre est loin d'avoir épuisé tout son «combustible».