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Émile Zola en 1898. Émile Zola en pleine gloire s'engage dans l' affaire Dreyfus. En mars 1898, l'écrivain est photographié par Nadar dans l'attitude qu'évoque la conclusion de « J'accuse… ! » : « J'attends. En 1898, Émile Zola est un écrivain au sommet de la gloire.
J’accuse le lieutenant-colonel du Paty de Clam d’avoir été l’ouvrier diabolique de l’erreur judiciaire, en inconscient, je veux le croire, et d’avoir ensuite défendu son œuvre néfaste, depuis trois ans, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables.
En 1898, Zola écrit J’accuse…!, dans le journal L’Aurore. Cette lettre, adressée à Félix Faure, le président de la République française, vise à dénoncer les autorités militaires et judiciaires d’avoir organisé une conspiration pour condamner Alfred Dreyfus sur la base de fausses preuves et de dissimuler la vérité. Son ...
Découvrez le texte et l'analyse de la conclusion de l'article de Zola publié en 1898 pendant l'affaire Dreyfus. Zola accuse les responsables de l'erreur judiciaire et demande un nouveau procès.
C'est précisément le coup de génie de « J'accuse » que d'avoir brutalement renversé les objectifs, changé le terrain et les armes, transformé Zola en « tueur », accusant individuellement, terrorisant et affolant des hommes jusque-là assurés de leur puissance.
Découvrez comment Émile Zola a dénoncé l'injustice du procès de Dreyfus dans une lettre ouverte au Président de la République en 1898. Explorez les images et les œuvres d'art qui illustrent cet événement historique et sa répercussion.
14 nov. 2015 · J’accuse le Lieutenant-colonel du Paty de Clam d’avoir été l’ouvrier diabolique de l’erreur judiciaire, en inconscient, je veux le croire, et d’avoir ensuite défendu son œuvre néfaste, depuis trois ans, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables.
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