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  1. Alfred de Vigny. I. J’aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.

  2. fr.wikipedia.org › wiki › Le_CorLe Cor — Wikipédia

    Le Cor est lun des plus célèbres poèmes d'Alfred de Vigny, publié en 1826 dans le recueil Poèmes antiques et modernes [1].

  3. I. J’aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille. Que de fois, seul, dans l’ombre à minuit demeuré, J’ai souri de l’entendre, et plus souvent pleuré !

  4. Le Cor, publié dans le recueil Poèmes antiques et modernes (1826), est l'un des poèmes les plus beaux et célèbres d'Alfred de Vigny. Cette ballade en alexandrins divisée en quatre sections est inspirée de la Chronique des prouesses et faits d'armes de Charlemagne et du tableau La Mort de Roland.

  5. « Sire, on voit dans le ciel des nuages de feu ; Suspendez votre marche ; il ne faut tenter Dieu. Par monsieur saint Denis, certes ce sont des âmes Qui passent dans les airs sur ces vapeurs de flammes. Deux éclairs ont relui, puis deux autres encor. » Ici l’on entendit le son lointain du Cor. — L’Empereur étonné, se jetant en arrière,

  6. Il témoigne de l'amour inconditionnel de Paul Eluard pour Nusch et de son immense chagrin face à sa disparition. Points importants à retenir: Le poème est un hommage à Nusch, l'épouse de Paul Eluard.

  7. 12 juil. 2017 · par Alfred de Vigny. I. J'aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille. Que de fois, seul, dans l'ombre à minuit demeuré,

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