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Le pardon. René-François SULLY PRUDHOMME. Recueil : "Epaves". Pour peu que votre image en mon âme renaisse, Je sens bien que c’est vous que j’aime encor le mieux. Vous avez désolé l’aube de ma jeunesse, Je veux pourtant mourir sans oublier vos yeux,
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Alphonse de Lamartine, de son nom complet Alphonse Marie...
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Ah ! le cours de mes ans ne peut que faire envie : Je ne...
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- Silence et nuit des bois
C’est le point d’où je peux contempler l’infini....
- Le coucher du soleil
Ta gloire peut sombrer, le retour en est sûr : Elle renaît...
- Le Chrétien mourant
Pour peu que votre image en mon âme renaisse, Je sens bien que c’est vous que j’aime encor le mieux. Vous avez désolé l’aube de ma jeunesse, Je veux pourtant mourir sans oublier vos yeux, Ni votre voix surtout, sonore et caressante, Qui pénétrait mon coeur entre toutes les voix, Et longtemps ma poitrine en restait ...
Doit trouver le repos sous un ciel sans tempête ; Mais qu’importe à mes voeux le calme de la nuit ! Rendez-moi le matin, la fraîcheur et les charmes ; Car je préfère encor ses brouillards et ses...
Il a apaisé mes tourments, M'offrant le repos d'un cœur serein. Ce poème met en lumière le pouvoir du pardon pour nous libérer du fardeau de la colère et de la rancœur, nous permettant ainsi de trouver la paix intérieure et la réconciliation avec nous-mêmes.
J'ai peur de vous haïr quand je deviendrai vieux. Que toujours votre image en mon âme renaisse ! Que je pardonne à l'âme au souvenir des yeux ! Poème: Le pardon, René-François SULLY PRUDHOMME. Poésie Française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyen-âge au début du XXème siècle, et également un espace de ...
Lire le poème "Vénus rustique" en entier (il reste 50 strophes à lire) Guy de Maupassant Recueil : Des vers. Le pardon. Je me meurs, je succombe au destin qui m’accable. De ce dernier...
L’incroyable, l’unique horreur de pardonner. Faire un peu de repos dans l’entier sacrifice. Et que votre plaisir, ô Jésus, s’assouvisse. Paul Verlaine, Bonheur, 1891. Paul Verlaine, Paix, Sonnets. Le poème 'L’incroyable, l’unique horreur de pardonner' du poète français du 20ème siècle Paul Verlaine.