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Monte jusqu'au plafond. C'est l'essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide. Qui porte un éclair au flanc.
Les Djinns est un poème de Victor Hugo, publié en août 1829 dans le recueil Les Orientales.
13 juil. 2017 · Monte jusqu'au plafond. C'est l'essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide. Qui porte un éclair au flanc.
Les Poèmes de Victor Hugo de A à Z. Lettrines photographiées sur des ailes de papillons par Kjell Sandved. Les Djinns, un poème de Victor Hugo (Les orientales) : Murs, ville, Et port, Asile.
Il explore les thèmes de l'amour, de la perte et du souvenir. Le poème est empreint d'une grande tristesse et d'une douleur profonde. Il utilise de nombreuses figures de style pour créer un portrait vibrant de Nusch.
Les Djinns funèbres, Fils du trépas, Dans les ténèbres 100 Pressent leurs pas ; Leur essaim gronde : Ainsi, profonde, Murmure une onde Qu’on ne voit pas. 105 Ce bruit vague Qui s’endort, C’est la vague Sur le bord ; C’est la plainte, 110 Presque éteinte, D’une sainte Pour un mort. On doute La nuit… 115 J’écoute : — Tout fuit,
Victor Hugo. Les Djinns. Murs, ville. Et port, Asile. De mort, Mer grise. Où brise. La brise, Tout dort. Dans la plaine. Naît un bruit. C’est l’haleine. De la nuit. Elle brame. Comme une âme. Qu’une flamme. Toujours suit ! La voix plus haute. Se ...
