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  1. Monte jusqu'au plafond. C'est l'essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide. Qui porte un éclair au flanc.

  2. 13 juil. 2017 · Monte jusqu'au plafond. C'est l'essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide. Qui porte un éclair au flanc.

  3. Les Djinns est un poème de Victor Hugo, publié en août 1829 dans le recueil Les Orientales.

  4. Qui le long du mur rampe, Monte jusqu’au plafond. C’est l’essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l’espace vide, Semble un nuage livide.

  5. Les djinns. Les Orientales, Ollendorf, 1912, 24 (p. 709 - 713). LES DJINNS. Ombre portate dalla detta briga. Dante. Et comme les grues qui font dans l’air de longues files vont chantant leur plainte, ainsi je vis venir traînant des gémissements les ombres emportées par cette tempête. Et port. Tout dort.

  6. Les Djinns funèbres, Fils du trépas, Dans les ténèbres 100 Pressent leurs pas ; Leur essaim gronde : Ainsi, profonde, Murmure une onde Qu’on ne voit pas. 105 Ce bruit vague Qui s’endort, C’est la vague Sur le bord ; C’est la plainte, 110 Presque éteinte, D’une sainte Pour un mort. On doute La nuit… 115 J’écoute : — Tout fuit,

  7. Monte jusqu'au plafond. C'est l'essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide. Qui porte un éclair au flanc.

  8. Les Djinns est un poème de Victor Hugo paru dans le recueil Les Orientales (1829). Il fait le récit du passage de djinns, créatures surnaturelles de la mythologie arabique, autour de la maison du narrateur. La longueur des vers augmente à mesure qu'ils se rapproche et diminue lorsqu'ils s'éloignent.

  9. Prions ! voici l’ombre sereine. Vers toi, grand Dieu, nos yeux et… Ceux qui t’offrent ici leurs larme… Sont les plus douloureux parmi les… Ils ont le plus d’honneur ayant le…

  10. Qui le long du mur rampe, Monte jusqu’au plafond. C’est l’essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l’espace vide, Semble un nuage livide.

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